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Le contexte aiderait à comprendre l’expression, mais, à priori, « métier complet » signifie métier qui embrasse diverses compétences complémentaires correspondant à toutes les compétences nécessaires pour faire tourner une entreprise (d’où le « complet »). — Automatik (discussion) 3 octobre 2018 à 22:59 (UTC)
Langage courant (voir bâton)
Dans la catégorie "dérivés" du mot bâton on trouve un "bâton de circulation pour régler les mouvements de la circulation dans les rues passagères". Je pense que dans un dictionnaire il vaut mieux rester plus strict quitte à passer pour rétrograde et écrire "rues passantes". Il faut dire que l'exemple vient d'en haut : les mêmes dictionnaires donnent comme définition unique de passagère : qui est de courte durée et citent de grands auteurs l'utilisant à la place de passante ...
Merci pour la remarque et merci pour la mise à jour. Cela m’a donné l’occasion, hier () et aujourd’hui (), de compléter la liste de « dérivés » figurant dans wikt:fr:bâton : merci (par avance cette fois) à qui pourra parvenir à une liste complète (il doit y avoir encore des manques). Alphabeta (discussion) 4 octobre 2018 à 12:33 (UTC)
Le wiktionnaire ne donne que "par extension" la définition principale développée par wikipédia du "beffroi". les fondeurs de cloches, qui fabriquent également les beffrois, l'emploient dans le sens strict de charpente destinée à recevoir les cloches. Les tours campanaires sont les clochers rattachés à une église et les campaniles isolés ou construits sur d'autres bâtiments ( château, hopital ...) La langue appartient à ceux qui s'en servent alors que le beffroi soit en haut du beffroi !
88.219.175.933 octobre 2018 à 15:18 (UTC)
L’entrée est àmha, bien construite. L’étymologie indique l’origine de la construction en charpenterie. Y installer une cloche pour donner l'alerte est naturel. Quand le danger n’est plus … la construction reste. Rien à dire.
Si on tient absolument à utiliser cette locution en parlant de cloches, on dit qu’elles battent leur plein, sauf si on veut faire un jeu de mots (ce que je ne conseillerais pas, ça risque plutôt d’être pris pour une erreur). La page battre son plein explique tout. Lmaltier (discussion) 4 octobre 2018 à 17:25 (UTC)
Oui, c’est hélas la définition officielle fondée sur une utilisation erronée de Victor Hugo. Malheureusement cela ne correspond pas à une réalité d’usage. Battre UN plein n’a fondamentalement aucun sens, encore moins battre MON plein. Alors que le son d’une cloche ou d’un tambour battant à tout va est significatif d’une situation bien identifiable. Mais la langue française est ainsi pleine d’aberrations reconnues. Supreme assis(grain de sel)5 octobre 2018 à 08:44 (UTC)
Si je comprends bien, il faudrait faire glisser une définition vers l’avant en déplaçant aussi de par extension en conséquence ? peut-être, je ne connais pas le sujet. Je ne peux qu’approuver que la langue appartient à ceux qui s'en servent, mais sans oublier que les fondeurs de cloches ne sont pas les seuls à utiliser le mot beffroi… Lmaltier (discussion) 4 octobre 2018 à 17:25 (UTC)
On trouve quelques attestations écrites du terme un peu familier (jargon universitaire) : un colloquant mais, a priori, pas d'attestation de son féminin "naturel", une colloquante
A défaut de le trouver écrit, quelqu’un l’a-t-il déjà entendu ?
Bonjour cher Wiktionnaire, j'entends souvent des phrases comme ".. grâce à l'aide de nombreux secouristes tous les blessés furent sauvés..." ; ce genre de phrase me semble fautive, mais en quoi ? ("grâce à de nombreux..", ou "à l'aide de nombreux.." ; suffisent non ?) Q1) Est-ce un pléonasme ? Une redondance ? (ce sont des quasi synonymes selon Wiki). Pour moi ce n'est pas une tautologie. Q2) Si ce n'est ni l'un, ni l'autre, comment nomme-t-on ce type de faute (si c'en est bien une) ?
Je vous remercie pour vos cogitations.Jojodesbatignoles (discussion) 5 octobre 2018 à 13:10 (UTC)
Il me semble qu’on ne dirait jamais à l’aide de nombreux secouristes (c’est ça qui serait une faute) mais plutôt avec l’aide de nombreux secouristes. En tout cas, rajouter le mot aide après grâce à ne fait absolument pas double emploi, on peut employer grâce à même quand il n’est pas du tout question d’aide. Je ne vois absolument rien de choquant dans la phrase. Il ne faut pas chercher des fautes partout, si on l’entend souvent, c’est que c’est du français normal. Lmaltier (discussion) 9 octobre 2018 à 17:09 (UTC)
Heureusement qu'il n'a pas été dit : "grâce aux secours des secouristes". J'aurais également fait sauter "à l'aide de". C'est un pléonasme, qui fait partie de l'ensemble des redondances. Ce n'est pas une faute, c'est un défaut. Autre réponse à Températures. Peyreorade (discussion) 9 octobre 2018 à 21:12 (UTC)
En combien de lettres ? Ce pourrait être une définition de mots croisés. La partie la plus connue d’une seringue est son AIGUILLE (8 lettres)… Alphabeta (discussion) 5 octobre 2018 à 15:58 (UTC)
« Epsom » possède un dérivé, « epsomite » (synonyme de « sel d’Epsom »), pour lequel le Wix (version ) indique la prononciation \ɛp.sɔ.mit\. Ce dérivé possède une variante « épsomite » pour laquelle le Wix (version ) n’indique pas de prononciation, mais dont on pourrait supposer que le é… note la prononciation \e…\. Le Dictionnaire de Warnant mentionne à la page 241 (dans la partie relative aux noms communs que j’avais omis de consulter) la seule forme « epsomite », avec une prononciation en rapport avec celle donnée pour le nom propre « Epsom ». Alphabeta (discussion) 8 octobre 2018 à 15:19 (UTC)
Ou même le poulpe, extrait de Wikipédia « Il arrive également aux pieuvres de disposer des coquillages ou débris autour de leur habitat. Certains comparent ce comportement à une forme de décoration » --Basnormand (discussion) 8 octobre 2018 à 14:46 (UTC)
La réponse est probablement non, je suppose, comme pour quasiment tous les mots de la langue. Un mot peut être officialisé par des recommandations parues dans des textes officiels, mais la proportion de mots concernés est infime. Je ne sais pas si versionner est concerné. Il y a déjà plus de mots dans le dictionnaire de l’Académie française, qui a aussi un caractère officiel, mais l’absence d’un mot ne signifie absolument pas que l’Académie française ne l’admet pas, l’Académie française ne visant pas à construire un dictionnaire exhaustif et éliminant entre autres d’office plein de termes techniques. De toute façon, ça ne change rien, ce qui compte quand on parle français, c’est d’être compris par les francophones auxquels on s’adresse. Lmaltier (discussion) 9 octobre 2018 à 17:01 (UTC)
Non, ce n’est pas l’habitude. Je signale qu’il existe un dictionnaire officiel du Scrabble, qui est vendu et qui fait donc rentrer de l’argent. Nous ne devons pas le concurrencer. De toute façon, c’est une indication purement liée à un jeu, et qui ne pourrait être utile en pratique pour ce jeu que si elle était donnée dans chaque page de mot français, ce qui serait une concurrence directe et évidente pour l’Officiel du Scrabble. Je ne sais pas si le site 1mot.net a une autorisation ou non, mais nous, nous n’avons pas cette autorisation. J’ai donc préféré supprimer. Le jeu est mentionné ici dans messidor, par exemple, mais c’est purement ponctuel et il y a une bonne raison pour le mentionner, cela ne fait pas concurrence à l’Officiel du Scrabble. Lmaltier (discussion) 10 octobre 2018 à 20:50 (UTC)
Ce n’est pas encore dans la neuvième édition du dictionnaire de l’Académie française, l’édition en cours d’écriture, car ils n’ont publié que jusqu’à reservir au Journal officielNoé10 octobre 2018 à 13:20 (UTC)
Tout dépend des protections juridiques. Le site 1mot.net semble respecter notre licence, donc pas de problème de ce point de vue, nous devons nous aussi respecter le travail des autres et ne pas leur faire de concurrence déloyale. Et je ne suis pas d’accord que l’acceptation d’un terme par un jeu populaire tel que le Scrabble constitue un signe indubitable que ce terme fait partie du français le plus général. La preuve : messidors au pluriel est accepté, alors que les noms de mois sont traditionnellement considérés comme invariables. Lmaltier (discussion) 11 octobre 2018 à 17:00 (UTC)
Merci pour ces précisions. Mais site 1mot.net semble proche du monde Scrabble : on laisse le soins admis de se renseigner auprès de 1mot.net pour savoir quels sont les droits détenus par ce site (nemo dat quod non habet : je crois qu’on dit ainsi) et s’il accepte d’être cité par le Wiktionnaire… Alphabeta (discussion) 14 octobre 2018 à 15:16 (UTC)
Postdatatation
Bonjour. J'ai une question sur la postdatatation. N'est-ce pas une erreur ? ne s'agit-il pas juste de postdatation ? Ce dernier mot n'a pas d'entrée en tout cas, au contraire de antidatation. Mais il s'agit de + qu'un renommage car le petit tableau "nom commun" avec sg, pl, et prononciation a lui aussi le redoublement fautif (sauf dans la prononciation, je viens de voir... \pɔst.da.ta.sjɔ̃\). Bref je sais pas faire, et trouver dans quel bistrot faire la remarque est encore plus compliqué... j'essaie ici
Maurice Grevisse, Le Bon Usage, 1936, § 1092, alinéa c, classe cette expression dans les Phrases complexes, locution adverbiale concessive. Le fait que l'on puisse conjuguer la locution prouve qu'il s'agit bien d'une locution verbale, qui n'est donc pas invariable. Par ailleurs, « passé » n'est pas un temps. Dans quoi qu'il en fût, c'est un imparfait du subjonctif. On peut également remplacer en par quelque+. Peyreorade (discussion) 9 octobre 2018 à 18:53 (UTC)
Grevisse confirme donc qu’il s’agit d’une locution adverbiale, juste un peu spéciale puisqu’elle comporte un verbe conjugué. Les adverbes sont en principe invariables, mais il y a des exceptions (cf. tout, par exemple, qui est variable, et cette variabilité en tant qu’adverbe ne l’empêche pas de rester un adverbe). Lmaltier (discussion) 10 octobre 2018 à 05:27 (UTC)
Températures chaude ou froide...
Bonjour cher Wiktionnaire. Dans la lignée d'une question précédente "Grâce_à_l'aide_de...", j'aimerais avoir votre avis sur des bouts de phrases entendues lors de flash météo, du genre :
les températures seront plus chaudes... plus froides
Si on considère qu’une température est une mesure physique, c’est à dire une valeur numérique suivie d’une unité de mesure, elle peut être élevée, haute ou basse. Par extension elle traduit l’idée de froid ou de chaud. --Basnormand (discussion) 9 octobre 2018 à 20:17 (UTC)
Dire que les températures seront plus chaudes, c’est une autre façon, plus explicite, de dire qu’elles augmenteront. Où serait le pléonasme ? Je pense que c’est très clair, et c’est pour ça que c’est utilisé. Il ne faut pas chercher des erreurs partout : si les présentateurs météo le disent couramment sans que ça les choque, c’est que c’est du vrai français, puisqu’ils sont francophones. Quelque chose qui me choque chez eux,, par contre, c’est d’entendre des vitesses de vents exprimées en kilomètres par heure, comme si c’était une unité scientifique standard, ce qu n’est pas le cas. Ils ont probablement des consignes, mais dire kilomètres à l’heure serait bien plus naturel, et ne pourrait être contesté par personne. Lmaltier (discussion) 10 octobre 2018 à 05:21 (UTC)
La formule hyper correcte décrivant le processus physique et mental serait « La température de l’air est élevée donc l’air est chaud » formule « élidée » en « les températures sont chaudes »... l’esprit et le langage humains vont souvent « au plus court » … --Basnormand (discussion) 10 octobre 2018 à 06:42 (UTC)
C’est exact. La température est une grandeur mesurable dans un système d’unités et observable sur une échelle. Dire qu’elle est chaude ou froide n’a pas vraiment de sens. Le prix d’une chose n’est pas cher ! La distance n’est pas loin ! je ne sais pas comment qualifier cette erreur couramment commise. En tous cas, je ne ferai pas confiance aux commentateurs météo Supreme assis(grain de sel)10 octobre 2018 à 08:37 (UTC)
@Jojodesbatignoles : Non, je ne pense pas, plutôt une attitude de puriste, extrêmement fréquente à cause de l’enseignement donné de façon classique dans les écoles. On devrait plutôt apprendre le français de façon naturelle, éventuellement en essayant de comprendre la logique, mais sans condamner quoi que ce soit (ces condamnations résultent souvent, d’ailleurs, d’une mauvaise compréhension des mécanismes de la langue). Les condamnations, le stress, ça ne fait que perturber les élèves, qui apprennent moins bien. Lmaltier (discussion) 10 octobre 2018 à 17:06 (UTC)
En temps que puriste et ancien prof de maths, je confirme la position officielle de l’Académie pour km PAR heure (unité scientifique standard reconnue). Tout simplement parce que c’est une distance réalisée en un temps donné, donc une proportion, donc une barre de fraction. Mais je confirme également que l’usage n’est pas toujours à réformer. Autre exemple : les tomates coûtent 4 € LE kg devrait être remplacé par 4 € PAR kg. Comme le souligne Lmaltier (d · c · b) l’important est d’être compris par son interlocuteur. C’est le propre de la communication Supreme assis(grain de sel)10 octobre 2018 à 08:37 (UTC)
Le km par heure serait une unité scientifique standard reconnue ? Depuis quand l’heure est-elle une unité standard pour les scientifiques ? Pour moi, l’unité de vitesse la plus standard est le mètre par seconde, on peut aussi utiliser d’autres unités, mais pas les minutes et les heures. En tout cas pas tant qu’on utilise le système international d'unités (SI), que je considère comme notre système standard. Par contre, je suis d’accord qu’en langage scientifique, on dit par dans ce cas, mais les présentateurs météo qui n’utilisent pas le système international d'unités n’ont à mon avis pas à tenir compte de ça, ils s’adressent au grand public, pas aux scientifiques, le mieux est qu’ils utilisent le langage le plus simple et le plus clair possible, sans prêter à confusion, c’est pour ça qu’il vaut quand même mieux qu’ils évitent l’unité kilomètre-heure, qui pourrait (en théorie…) être interprété comme des kilomètres multipliés par des heures. kilomètres à l’heure me semble un intermédiaire parfait.
Pour les prix, il n’est pas rare de rencontrer des phrases du genre les prix sont de plus en plus chers, ce qui est équivalent à les prix sont de plus en plus élevés, seulement en plus concret ; il n’y a donc pas lieu de condamner, puisque c’est l’usage qui fait la norme. Si on peut vouloir éviter ça, c’est, malheureusement, uniquement pour éviter de s’attirer les foudres des puristes prompts à condamner, qui font, depuis très longtemps, un grand tort à la langue française. On ne dit jamais, par contre, qu’une distance est loin, le cas est différent, loin n’est pas un adjectif. Lmaltier (discussion) 10 octobre 2018 à 20:57 (UTC)
@Lmaltier : Le km par heure serait une unité scientifique standard reconnue ? il ne faut pas confondre unité scientifique reconnue et forme d’usage d’une unité. La recommandation de l’inspection d’Académie avait pour but de faciliter la compréhension par les élèves de la notion de proportion en orientant vers un rapport : km PAR heure. Il y avait risque d’interprétation de km A l’heure pat km FOIS heure. On dit aussi couramment Km heure. L’identification avec mètre PAR seconde permettait de résoudre le problème (on ne dit pas mètre à la seconde). Mais je reconnais que les préconisations de l’Académie sont parfois tortueuses ! kilomètres à l’heure me semble un intermédiaire parfait est une interprétation toute personnelle qui n’a hélas aucune valeur officielle. Désolé.
c’est l’usage qui fait la norme. Oui, j’agrée, c’est pour cela que l’on ne condamne pas et que l’on peut admettre certaines fautes sémantiques. Mais, il n’est pas interdit non plus de le signaler. Dans une note par exemple. Certains lecteurs y sont sensibles. Forme d’usage et forme officielle sont parfois différentes. Notre devoir est de signaler les deux.
Je ne savais pas que tu pensais à des préconisations de l’inspection d’Académie… Cela n’a rien à voir avec les normes utilisées par les scientifiques. Non, l’heure n’est pas une unité du SI, et donc le km/h non plus. Voir w:Unités_dérivées_du_Système_international. Cependant, la page w:Heure précise : Bien qu’en dehors du Système international, elle est en usage avec lui.Lmaltier (discussion) 11 octobre 2018 à 16:53 (UTC)
Encore une fois je ne vois pas vraiment de problème, mais n’étant pas francophone de naissance, j’essaie d’attendre les commentaires des autres avant d’écrire les miens. Renard Migrant (discussion) 10 octobre 2018 à 13:10 (UTC)
Oui, mais kilowatt-heure ne pose pas de problème de fond (kilowatts multipliés par des heures), bien que ce ne soit pas une unité standard du SI, alors que kilomètre-heure peut choquer, même si tout le monde comprend… Lmaltier (discussion) 11 octobre 2018 à 16:50 (UTC)
Moi, ce qui m'a toujours amusé, c'est les mamans qui posent leurs mains sur le front de leurs bambins et qui disent «Ouh, tu as de la température!». Encore heureux...
FPRMPIPPV
CES INSCRIPTION SONT GRAVER DANS MA MAISON ET J'AIMERAIS CONAITRE SA DEFINITION, POUR MOI C'EST UNE ABREVIATION MAIS DE QUOI ?
90.29.148.1239 octobre 2018 à 23:03 (UTC)
Dur, dur… Si on savait où dans la maison c’est gravé, et dans quelle région est la maison, et de quelle époque elle est, et s’il y a des espaces plus importants à l’intérieur qui pourraient séparer plusieurs parties, cela pourrait peut-être aider. Si c’est une inscription moderne, je pense que c’est sans espoir, sauf en demandant à la personne qui l’a gravée. Lmaltier (discussion) 10 octobre 2018 à 05:31 (UTC)
Suggestion gratuite, si l’inscription est ancienne, il pourrait s’agir d’une dédicace : Fait Par (nom) (prénom) pour (nom) (prénom)
Par curiosité, j’ai regardé où on pouvait trouver ce CD et j’ai eu que des réponses avec un prix en $. Il semble que ce soit québécois. Peut-être un régionalisme ? J’ai pu voir aussi le mot tarlouche utilisé comme synonyme de pourlécher : Il tarlouche ses babines. Ou encore mouffe dans qui mouffe ses poils touffus. On peut se demander s'il ne s’agit pas de mots inventés invitant les auditeurs à retrouver les vrais mots (il s’agit de comptines pédagogiques). Jpgibert (discussion) 14 octobre 2018 à 19:56 (UTC)
Anrosse
Bonjour
Je trouve dans Wikipédia, à l'article Cassagnes-Bégonhès, la description des armoiries de Mgr de Polignac, évêque de 1494 à 1501 : trois bandes d’argent surmontées d’une anrosse. Google ne me donne rien sur la signification de ce mot. Avez-vous une idée?
Dhatier (discussion) 14 octobre 2018 à 00:29 (UTC)
Et j’ai une question incidente : comment prononcer Cassagnes-Bégonhès ? Le groupe nh est-il à prononcer \ɲ\ ? Le son \ɲ\ serait alors écrit de deux fraçons dans le toponyme : gn et nh ! Alphabeta (discussion) 14 octobre 2018 à 14:50 (UTC)
Bonsoir, j’arrive un peu après la bataille :), la réponse a été fourni sur Wikipédia. C’était une faute de frappe du rédacteur de l’article. Cependant, attention, les armoiries ne sont pas toujours fixes pour un même porteur. On voit régulièrement des personnes avoir plusieurs armoiries en fonction des périodes de leur vie. On peut donc pas accuser un rédacteur de ne pas savoir ce qu’est une bande sur le simple fait qu’un blasonnement ne colle pas à une représentation qui est un fascé à n’en pas douter (nombre pair de pièces - si le nombre avait été impair, on aurait parlé que de 3 fasces) ; c’était l’info inutile du jour ;b Jpgibert (discussion) 14 octobre 2018 à 19:41 (UTC)
On ne pourra conclure que lorsqu’on disposera d’un cliché du blason figurant dans l’église : on y verra si les « bandes » sont horizontales ou pas. On rappelle qu’un spécialiste des arts ou un historien a (un peu) le droit de s’affranchir du jargon héraldique (qu’il ignore souvent). Alphabeta (discussion) 15 octobre 2018 à 13:56 (UTC)
Bonjour Alphabeta, je trouve un peu dommage justement que ce manque de connaissance soit si répandu chez les spécialistes des arts et de l’histoire. En effet, c’est le blasonnement (donc le texte) qui constitue les armoiries et non la représentation graphique qui peut varier énormément d'un illustrateur à l’autre. L’héraldique n’impose pas de style à un lion. Tant qu’on le reconnait par son allure générale et sa position, c’est un lion (qu’il y ait des frisottis, que sa queue ondule ou fait des circonvolutions, qu'il soit écrasé verticalement ou horizontalement, qu'il occupe tout l’espace ou une partie plus réduite ou qu'il soit agressif ou digne d'un matou… peut importe). De même pour les couleurs. Tout ce qui tourne plus ou moins autour du rouge sera du gueules. Comme le fait remarquer w:Michel Pastoureau, bon nombre de scientifiques gagneraient à mieux connaître le langage héraldique et à le considérer davantage comme un outil technique que comme du folklore d’un autre temps. Mais ceci est une autre histoire. Jpgibert (discussion) 16 octobre 2018 à 08:16 (UTC)
@Jpgibert : je déplore moi aussi cette ignorance et vous suis reconnaissant pour vos travaux relatifs à la terminologie héraldique que vous effectuez au sein du Wiktionnaire… Alphabeta (discussion) 16 octobre 2018 à 12:51 (UTC)
Il y a plusieurs manières de dater, c’est-à-dire de repérer une chose dans le temps. Comme dans tout repère, il faut une référence par rapport à laquelle un intervalle est mesurable. Une origine. Avant l’avènement du calendrier qui a nécessité la conscience d’un cycle répétitif régulier et la numérotation des cycles successifs, on pouvait très bien dater un événement par rapport à une référence naturelle remarquable : 3 jours après l’enterrement de x ou la quatrième année après le couronnement de y est une bonne datation relative, mais non absolue. Merci JC qui a permis de fixer une origine ! cordlkmt Supreme assis(grain de sel)15 octobre 2018 à 10:37 (UTC)
la numération est déjà induite chez l’animal (nombreuses études en ce sens) … et ils ne savent pas écrire. Le comptage dépend donc de l’écriture, lui (puisque il faut identifier le nombre correspondant). Excellente remarque Supreme assis(grain de sel)16 octobre 2018 à 08:55 (UTC)
Je participe chaque fois que je peux à l’amélioration de la terminologie utilisée en héraldique française et dans mes pérégrinations, je suis tombé sur la locution : jessant-de-lis. Comme le montre l’image ci-jointe, ce qualificatif fait référence au rencontre (oui c’est masculin) de léopard associé à une fleur de lis qui se trouve derrière la tête et dont le pied ressort par la gueule. Un peu comme si on avait enfoncé une lance munie d’un fer en forme de lis.
On rencontre peu ce meuble héraldique et quasi uniquement en Angleterre. L’expression est pourtant tirée de l’ancien français qui était la langue à la mode en héraldique à l’époque :)
Là où j’ai besoin d'un coup de main, c’est pour l’étymologie du mot jessant (probablement un participe présent). J’ai fait quelques recherches mais sans grand succès. Il y a bien un article en anglais sur Wikipédia mais je n’ai pas trouvé de référence étymologique. On peut peut-être le rapprocher de jet ? Certains auteurs parlent de léopard vomissant le lis.
Si d’aventure certain.e.s parmi vous pouvaient me tuyauter, ça me permettrait d’enrichir mon article à venir sur le sujet.
Merci pour toutes ces infos. Je manque de pratique dans les recherches étymologiques. J’avais supputé un lien avec gésir, mais je ne voyais pas les étapes permettant de passer du g au j. Jpgibert (discussion) 17 octobre 2018 à 14:12 (UTC)
L’écriture de lis/lys est toujours un point de friction en héraldique. On trouve dès les débuts (XI/XIIème siècle) des blasonnements avec lis en concurrence avec lys, puis il semble que l’orthographe ait dérivée vers lys avant de revenir à lis avec nombre de personnes estimant que la "vraie" graphie historique héraldique est lys (semble-t-il sous l’influence du romantisme sur les auteurs qui faisaient un peu feu de tout bois pour donner un côté ancien/authentique à leurs productions). Si on peut reprocher à certains historien de ne pas être suffisamment versés dans l’héraldique, on peut aussi reprocher aux héraldistes de grosses lacunes en linguistique.
@Jpgibert : En lisant attentivement l’article de l’Oxford English Dictionary, je vois que celui-ci donne deux sens au mot. Celui qui concerne ton meuble, puisque j’apprends qu’il faut dire ainsi, est le sens 2 (colonne 2) et est présenté comme un mot peut-être distinct de celui lié à jacere / gesant (« perhaps a different word »). Celui qui t’intéresse ici ne signifierait pas « gisant » mais shooting forth (« jaillissant »), peut-être par confusion avec issant (si je comprends bien l’article). J’avoue que je trouve ça plus convaincant, je ne voyais pas bien le rapport sémantique entre gésir et l’image représentant une fleur de lys qui sort par la gueule. --Patatruc (discussion) 17 octobre 2018 à 15:07 (UTC)
Merci pour la remarque Patatruc. Effectivement, si je vois assez bien le glissement phonétique possible entre gisant et jessant, je vois mal la liaison sémantique. C’est pourquoi j’avais plutôt proposé une liaison avec jet (du coup proche de jaillissant) plutôt qu’avec gésir même si c’était ma première idée. La liaison avec issant est également intéressante même si dans le cas d'un meuble issant, celui-ci est caché derrière alors que dans jessant, une partie ressort par un orifice comme s’il perforait le meuble. En ce sens, il y a rapprochement avec traversé ou enfilé.
Effectivement Alphabeta, il y a des exemples d’utilisation hors de l’Angleterre, c’est pourquoi j’avais nuancé mon affirmation première par un "quasi uniquement" pas forcément très heureux :) D’ailleurs, à y regarder de plus près, le dessin n’est pas très respectueux du blasonnement puisqu’il montre en fait 3 lis issant de têtes de léopard. En effet, le pied du lis ne ressort pas par la gueule comme il devrait quand on parle de jessant-de-lis (l’utilisation ou pas des traits d'union est aussi un sujet de discussion possible).
Jpgibert, voyant cette demande, j’ai été voir la page, et j’ai ajouté un sens en héraldique. Je t’invite à relire ma définition et à la préciser, puisque c’est ton domaine Noé19 octobre 2018 à 10:03 (UTC)
Merci Noé, je l’avais remarqué et je comptais ajouter la définition. Du coup, je l’ai complétée. Personnellement, je préfère parler d’armoiries plutôt que de blason puisque le blason est aux armoiries ce que la grammaire est à un texte. Parler de blason d'une ville ou d'une personne, c’est bizarre puisqu'on parle rarement de la grammaire de Victor Hugo, mais plutôt de ses textes . Jpgibert (discussion) 19 octobre 2018 à 10:23 (UTC)
Merci pour l’explication, je ne connaissais pas la différence entre ces termes ! Dans ce que tu as ajouté, tu pointes vers vilenie mais j’ai l’impression que le sens auquel tu te réfères n’est pas défini pour ce mot Noé19 octobre 2018 à 10:45 (UTC)
Effectivement Noé, j’avais déjà fait un lien vers vilenie à partir de lionne pour la même raison que dans levrette. Et il faut que j’ajoute la définition héraldique (ça fait partie de mon planning, mais le sujet héraldique est vaste et mon temps limité ). Pour faire vite, vilenie fait référence à l’étui pénien ou au penis des animaux mâles. En héraldique, la différence entre un lion et une lionne, ce n’est finalement pas la crinière ou la taille mais la présence ou non d'un penis. J’essaierai de combler le manque rapidement. Cela dit, avec vilenie on est sur du métalangage. Dans les blasonnements, on utilise plutôt le terme vilené parce qu'on cherche à préciser la couleur de l’organe ou sa présence quand le nom de l’animal ne permet pas de savoir s'il est mâle ou femelle (comme dromadaire ou mammouth). Jpgibert (discussion) 19 octobre 2018 à 11:15 (UTC)
Tu as raison Alphabeta, un lion éviré reste un lion.
L’utilisation de cet adjectif indique généralement une suppression (le pénis en l’occurrence) ce qui, du coup, visuellement, ne fait pas de grande différence par rapport à la lionne. Sauf si les illustrateurs sont taquins et laissent les testicules .
Comment savoir alors qu'on a à faire à un lion éviré plutôt qu’à une lionne ? C’est l’histoire familiale et du porteur qui pourra nous aider puisque l’utilisation de cette "castration" correspond à une brisure qui marque une différenciation par rapport aux armes familiales (bâtardise par exemple). Ca peut aussi être une "punition" pour couardise ou traîtrise qui s’applique donc aux armoiries du porteur. Bref, l’utilisation d’éviré n’est jamais anodine quand elle est volontaire (j’entends par là, à la création des armoiries - le cas le plus rare).
Dans la plupart des cas, les auteurs qui ont (rarement) utilisé cet adjectif, l'on fait quand ils ont cherché à blasonner une image (rétro-ingénierie ) trouvée dans un armorial (ou autre) sans parvenir à déterminer si l’illustrateur avait ou non mis un pénis sur l’image. Dans le doute, le lion étant une figure plus noble que la lionne (même castré… c’est dire la haute opinion qu'ils avaient de la gente féminine), ils ont opté pour cette formulation comme pour dire : probablement un lion. Jpgibert (discussion) 21 octobre 2018 à 19:17 (UTC)
Cette chanson est-elle en langue française à 100/100? C'est très important, j'ai un devoir à rendre..--109.213.110.119 19 octobre 2018 à 13:30 (UTC)
Je m'excuse, mais je suis chinois et j(ai du mal à comprendre certaines expressions. Prince sans carrosses fait-il allusion à l'obtention du permis de conduire sobre?
109.213.110.11919 octobre 2018 à 19:03 (UTC)
Si l'on m'avait dit, au milieu des années 1970, qu'une chanson du groupe lorrain Ange serait traitée à l'école, je ne l'eusse pas cru. L'école change en bien, ça fait plaisir. --François GOGLINS (discussion) 21 octobre 2018 à 09:44 (UTC).
Ce doit bien être le même, à relire w:fr:Émile Jacotey#Historique. Mais je n’ai découvert l’existence du groupe Ange qu’à l’occasion de cette « question sur les mots » : je ne suis donc pas particulièrement compétent ! Je me suis quand même permis de modifier « son petit fils » en « son petit fils petit-fils » (noter le trait d’union) en supposant qu’il s’agissait non pas d’un fils de petite taille mais du fils du fils. Et pour finir : je n’ai pas bien compris l’expression « permis de conduire sobre »… Alphabeta (discussion) 24 octobre 2018 à 12:41 (UTC)
Bonsoir, le fichier est indiqué comme étant une prononciation états-unienne. Je ne vois pas de raison de la modifier ou de la supprimer. Par contre, une prononciation "à la française" serait la bienvenue en complément. Jpgibert (discussion) 21 octobre 2018 à 20:11 (UTC)
Je ne connaissais pas cette acception de ci-devant… j’essaierai de m’en souvenir. Pour ce qui est de la question, je doute qu’il y ait un mot spécifique pour ça. D’autant plus qu’on ignore de quelles époques on parle. Jpgibert (discussion) 22 octobre 2018 à 08:08 (UTC)
Dans ma lecture du moment, qui se déroule dans la région des Dombes, au nord de Lyon, je viens de tomber sur un sens non défini pour le mot béton. Une note de bas de page indique : « Couche intermédiaire entre la terre et l’argile ». En explorant un peu Wikisource, je n’ai pas trouvé d’autres usages similaires à ce terme. Peut-être est-ce un régionalisme. Qu’en pensez-vous ? Noé24 octobre 2018 à 14:00 (UTC)
Dans les endroits riches en béton tu peux encore faire du blé et de l’avoine…Mais ailleurs, faut t’en tenir à la pomme de terre et au sarrasin, en cultivant en planches, bien entendu, sans quoi ce serait tout pourri…— (Marcel-E. Grancher, Dombes, Éditions Optic, 1945, page 76.)
La réponse est simple, selon monsieur Paul-Claude Dubost : le béton des Dombes n’existe pas, cf ci-dessous - perso je n’en ai aucune idée, alors je te laisse juge :
Ainsi donc l’imperméabilité de notre sol d’étangs est loin d’être absolue, et elle est susceptible de s’accroître beaucoup par le séjour des eaux ; le poids de l’eau que supporte le sol, le presse, le tasse, et il se forme immédiatement sous la couche labourable, une couche plus dense qui porte le nom de béton, et qui s’oppose avec plus ou moins de puissance à la filtration de l’eau dans le sous-sol.— (Rapport de la commission d’enquête sur le desséchement des étangs et l’assainissement de la partie insalubre du département de l’Ain, Journal d’agriculture, lettres et arts du département de l’Ain, 1839, page 308)
Une des dernières erreurs qui aient été publiées sur la Dombes est celle qui est relative au béton des étangs. Les gens du pays donnent ce nom à la couche d’alluvions inférieure à la couche labourée tous les trois ans à la profondeur de 12 à 15 centimètres. Par suite d’un sentiment de répulsion pour les labours profonds, ils attachaient à cette dénomination une idée purement conventionnelle, et prétendaient que cette couche devait être tassée par le poids des eaux, tenace au labour, dure enfin comme du béton ou l’alios des Landes. Les derniers auteurs qui ont écrit sur la Dombes, notamment M. Puvis, ont admis sans conteste l’existence de ce béton, et en ont fait un des principaux obstacles au dessèchement. J’ai cherché vainement ce béton dans de nombreuses fouilles pratiquées à tous les moments de l’année dans plus de 50 étangs de la Dombes ; je n’ai trouvé partout qu’une couche plus ou moins épaisse d’alluvions très-perméables et dans laquelle tous les travaux agricoles, labours profonds, drainage, etc., se pratiquent plus facilement et à meilleur marché qu’ailleurs. Le béton des étangs, avec la signification qu’on lui a donnée, notamment dans le rapport de la Commission d’enquête de 1839, n’existe pas.— (Paul-Claude Dubost, Études agricoles sur la Dombes, Dufour, 1859, page 14)
La Dombes, plateau situé au sud de la Bresse, possède un sol sablo-argileux composé de 70 parties d’un sable siliceux excessivement fin, de 25 parties d’argile et de 4 parties d’oxyde de fer ; le carbonate de chaux fait défaut ; quant au sous-sol, il est formé des mêmes éléments, mais le sable ferrugineux s’agglutine comme l’alios des Landes et constitue une couche imperméable qui reçoit dans le pays le nom de béton de la Dombes.— (Collectif, sous la direction de Pierre Joigneaux, Le livre de la ferme et des maisons de campagne, Masson, 1872, page 38)
Excellent ! Merci beaucoup pour ces belles précisions ! Est-ce qu’on rajoute tout ça dans l’entrée concernée, du coup, ou c’est trop marginal comme usage ? Noé25 octobre 2018 à 05:54 (UTC)
Un rapport avec bitume? (Commentaire fait par l’IP 109.213.228.39 - 26 octobre 2018 à 13:59)
Je dis ça pasque c'est dit à l'article bitume que c'est un apparenté étymologique de béton et que bitume vient latin par le gaulois. Y'a pas de ref. Je sais pas si c'est vrai.--109.213.228.3926 octobre 2018 à 21:15 (UTC)
Je ne pense pas qu’il faille chercher une étymologie particulière, c’était le même mot et la même chose qu’aujourd’hui. Le mot avait déjà son orthographe actuelle et était clairement défini dès 1637 :
Béton : espèce de repous, sorte de maçonnerie, composée de chaux vive, gros gravier & blocailles ou caillous, dont on fonde les bâtiments à Lyon, & autre part . Le béton se pétrifie dans terre & devient dur comme roc.— (Philibert Monet, Abrégé du parallèle des langues françoise et latine, Rouen, 1637, page 112)
Vous avez lu la mention de Lyon dans cette définition ? Eh bien curieusement, je vois que dans pas mal de publications contemporaines ce matériau a été considéré comme la spécialité de cette ville pendant pas loin de deux siècles :
Le béton est très-connu et souvent employé à Lyon. Mais pourquoi le béton n’est-il pas connu et en usage dans toute la France ? c’est qu’il n’y a qu’une chaux qui lui convienne, celle qui est faite avec de la pierre coquilliaire. On emploie effectivement cette méthode dans quelques endroits de la Bresse et du Lyonnais — (Henri-Gabriel Duchesne, Dictionnaire de l’industrie, Poignée, 1800, pages 515-516)
Donc rien d’étonnant si le matériau et le mot étaient bien connus dans la Dombes au début du XIXe siècle et s’il a été utilisé par analogie pour nommer une couche très dure du sous-sol. --Patatruc (discussion) 26 octobre 2018 à 21:00 (UTC)
Non, erreur après relecture, mais le choin n’étant pas « une espèce de marbre » (si ?) je me demande si le rédacteur ne s’est pas mélangé les pédales. Il faudrait retrouver le texte de ce monsieur Boulard, architecte de Lyon, auquel celui-ci fait référence. --Patatruc (discussion) 27 octobre 2018 à 00:41 (UTC)
Si... (Commentaire fait par l’IP 109.212.175.251 - 5 novembre 2018 à 15:11)
Bonjour. Le mot bio qu'on entend dans ce texte fait-il référence à une méthode de production agricole qui exclut le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse?--109.213.228.3926 octobre 2018 à 21:26 (UTC)
T'as raté quelque chose mon frère. Mais parait qu'y'a des types genre restaurateur ambulant qui proposent des soirées bitume dans mon coin.--109.213.228.3926 octobre 2018 à 22:06 (UTC)
Les cuisiniers de GB (gigot bitume) n’ont en effet jamais fait parti des fournisseurs officiels de la cour d’Angleterre.
une méthode de production agricole qui exclut le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse...
... est-elle une phrase protégée par le droit d'auteur? Dois-je citer l'historique? Ignore-j' sciemment les termes de la licence et les règles du projet?
J’ai révoquer une modif proposéE sur cette page car elle n’a pas sa place ici. Toutefois, elle n’est pas sotte. Je pense qu’il faudrait ouvrir une page catégorie:mots masculins en français se terminant par -ette ? Vos avis ? Supreme assis(grain de sel)27 octobre 2018 à 07:55 (UTC)
Oui, j'en suis sûr. Mais peut-être pas. Enfin ça dépend. Plus ou moins. C'est quoi cette question? Tu cherches a faire sauter mon cerveau? (Commentaire fait par l’IP 109.213.228.39 - 27 octobre 2018 à 20:20)
Ce prénom est utilisé en l'Eglise catholique pour définir les petites mains qui s'occupent de diverses tâches pour entretenir ces lieux. Avez-vous connaissance de cela et si oui pourquoi n'existe-t'il pas de définition dans le dico ? merci pour la réponse - cordialement
Il me semble que "inventeur" désigne aussi l’auteur d'une loi mathématique. Car si le phénomène représenté par la loi préexiste, sa conceptualisation est une invention qui aurait pris une autre forme dans un contexte intellectuel différent. Ainsi, on découvre un phénomène mais on invente sa représentation. Jpgibert (discussion) 30 octobre 2018 à 13:42 (UTC)
Cf. l’entrée wikt:fr:référé du Wiktionnaire : « 1. (Droit) Recours au juge qui, dans les cas d’urgence, prend une décision provisoire. » Voir aussi l’article w:fr:référé de Wikipédia qui mentionne la source suivante : Ph. Grandjean, L’évolution du référé commercial, conférence donnée le 1er février 1993 dans la Grand’Chambre de la Cour de Cassation. On conseille au questionneur de répéter sa question dans w:fr:Wikipédia:Oracle, toujours dans Wikipédia. Alphabeta (discussion) 30 octobre 2018 à 15:05 (UTC)
Le « to » me ferait pencher pour relatif à l'attitude/la condition d'un « spectateur » face à un spectacle... mais c'est une interprétation purement personnelle... Basnormand (discussion) 2 novembre 2018 à 07:28 (UTC)