Invariable |
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Zimmerwald \Prononciation ?\ |
Zimmerwald \zi.mœʁ.vald\
Organisée en Suisse par Robert Grimm avec la tolérance mais non le soutien du Parti socialiste suisse, cette conférence se tient du 5 au 8 septembre 1915 à Zimmerwald.— (Michel Dreyfus, L’Europe des socialistes, 1991, page 68)
Premièrement, jusqu’à Zimmerwald (août 1915) : l’action minoritaire se réduit à peu de chose.— (Denise Tintant, Léon Jouhaux : cinquante ans de syndicalisme, vol. 1, 1979, page 264)
La L.C.I. poursuit:— (Harpal Brar, Trotskisme ou léninisme?, traduit de l'anglais, Bruxelles : Etudes marxistes, 1993, page 18)
Broué prétend qu'après Zimmerwald, malgré les « désaccords réels » entre Lénine et Trotski. « on rechercha raisonnablement un rapprochement progressif entre les deux hommes qui, en réalité, n'étaient en désaccord que sur la scission de 1903 ».
Mais le chant que Brassens préférait, c’était Zimmerwald, écrit pour perpétuer et exalter le souvenir du congrès socialiste international qui s’était tenu en 1915 en Suisse— (André Larue, Brassens : ou, La Mauvaise Herbe, A. Fayard, 1970, page 92)
Dans un wagon, la nuit, j'ai entendu un FTP de je ne sais quelle compagnie qui chantait Zimmerwald. Nous avons aussitôt copié la chanson.— (André Calvès, Sans bottes ni médailles: un trotskyste breton dans la guerre, Editions La Brèche, 1984, page 106)