Singulier | Pluriel |
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aaronisme | aaronismes |
\a.a.ʁɔ.nism\ |
aaronisme \a.a.ʁɔ.nism\ masculin
Il est aussi le premier à mentionner les sacrifices pour le péché et pour l'infidélité. A d'autres égards encore, il présente des vues nouvelles, mais l'on ne trouve chez lui aucune trace du grand prêtre, ni de ce qu'on pourrait appeler d'une façon générale « l’aaronisme ». Avec Ézéchiel apparaissent aussi dans le langage certains termes que l'on chercherait vainement chez les écrivains qui l'ont précédé et qui sont copieusement employés dans la littérature postexilique.— (Lucien Charles Gautier, Introduction a l'Ancien Testament, Imprimerie Georges Bridel & Cie, 1906, page 210)
Chez lui, on ne trouve sans doute encore aucune trace d’aaronisme. Cependant son projet de constitution se rapproche de P et une relation particulière unit Ézéchiel aux Lois de sainteté ;— (Revue de théologie et de philosophie et compte-rendu des principales publications scientifiques, Imprimerie La Concorde, 1911, page 408)
Il faut un peu d’« aaronisme », c’est-à-dire satisfaire les désirs des gens, aider leur incrédulité en leur offrant pour supports de leur foi, des éléments de leurs traditions ou de celles de leurs voisins qui leur sont connues et qui sont populaires,— (Didier Amehi, Le juge a parlé, Éditions Haho, 2007, page 120)