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Concordance des calendriers dans l’année grégorienne 1879. Jeu. 0 Août 1879 19 Juill. 12 Therm. 11 Ab 11 Schaban — (Connaissance des temps ou des mouvements célestes, Bureau des longitudes, 1877)
Dès les premiers jours de la mobilisation (2 août 1914 = 9 Ab 5694), les israélites français répondirent à l’appel de la Patrie en danger.— (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
Spécialistes de l’observation, du sondage de la richesse de l’univers, et de la recherche du savoir, les Égyptiens ont dégagé de cet univers 9 éléments constitutifs de la personne humaine à savoir : Le Kat, le Sahu, le Ab, le Ka, le Ba, le Khaibit, le Khu, le Sekhem, le Ren. Voyons à présent point par point la signification et l’importance de chaque élément. Le Ab : c’est l’élément central de la personne humaine, c’est le cœur, muscle noble, siège de la vie et du comportement moral c’est-à-dire source du bien et du mal, élément fondamental de la vie humaine.— (Messack Pock, Conception africaine de l’homme, in Nathanaël Ohouo (éditeur), Dieu et l’homme : éléments d’anthropologie pour chrétiens et églises d’Afrique, Éditions CLÉ, 2007)
À comparer avec le mot persan آب de même sens (la grammaire de l’aïnou de Chine provient surtout du turc, mais le vocabulaire provient essentiellement du persan).
Du moyen haut-allemand ab, abe, du vieux haut allemand ab, du proto-germanique occidental *ab, du proto-germanique *ab, de l’indo-européen commun *h₂epó dont sont également issus le latin ab, le proto-slave *po (→ voir по, po), et le sanskrit अप, ápa (« loin »).
Éteint, détaché plus attaché à rien. Note : Utilisé uniquement comme attribut.
In Marokko werden Touristen, die diesen Tieren die Schnauze streicheln möchten, häufig mehrere Finger abgebissen. »Ich habe der Dame gesagt, sie soll aufpassen!« klagt dann der heuchlerische Kameltreiber. »Kamel nicht gut …« Die Finger sind trotzdem ab und tatsächlich verschluckt.— (Michel Houellebecq, traduit par Hinrich Schmidt-Henkel, Lanzarote, DuMont Buchverlag, Köln, 2000)
Fréquemment, au Maroc, les touristes tentant de caresser le museau de l’animal se font arracher plusieurs doigts. « J'avais dit à la dame faire attention… se lamente alors hypocritement le chamelier. Chameau pas gentil… » ; il n'empêche que les doigts sont bel et bien dévorés.
Lo gens tems de pascor Ab la frescha verdor Nos adui folh’ e flor De diversa color, Per que tuih amador Son gai e chantador Mas eu, que planh e plor, C’us jois no m’a sabor.— (Bernart de Ventadour, Lo gens tems de pascor)
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Si hi llegireu coneixereu ab prou claror la gran error tan manifesta, la deshonesta e viciosa tan perillosa amor inica que hui es practica, més pecoral que humanal, sols per delit.— (Jaume Roig, Espill, préface, 2e partie)
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De l’indo-européen commun *apo (« de, hors de ») qui donne of en anglais, ab- en allemand, ἀπό en grec ancien po en tchèque, etc.
La forme la plus ancienne est apo, sensible dans apud (« auprès de, à »), aperio (« ouvrir »). On trouve dans des inscriptions la forme aspiréeaf (sixième siècle avant notre ère), d’un usage archaïque au temps de Cicéron. Le latin laisse tomber les anciennes voyelles brèves finales (→ voir per- et péri-). Après la perte de la voyelle, le /p/ s'est changé en /b/ :
ăb\ab\suivide l’ablatif — Devient ā devant les consonnes (à l’exception du H), abs devant le son \t\, à un usage toutefois archaïque (sauf pour la formule classique abs te).
« Quis a signo Vortumni in circum Maximum venit quin is uno quoque gradu de avaritia tua commoneretur ? »
« Qui n’est jamais allé de la statue de Vertumne au grand cirque sans voir à chaque pas les preuves de votre cupidité ? » — (Cicéron, Verrines, Action II, livre 1, paragraphe 154)
« Quid tu, inquit, huc ? a villa enim, credo »
« Pourquoi toi ici, dit-il ? Je pense que tu dois venir de ta maison de campagne » — (Cicéron, De Finibus, livre III, paragraphe 8)
« Appius a Caesare nondum redierat. »
« Appius n’était pas encore revenu de chez César. » — (Cicéron, Lettres à son frère Quintus, livre II, lettre 4, paragraphe 6)
« Auxerunt Romae tumultum litterae ex Gallia allatae ab L. Porcio praetore »
« À Rome, ce fut la réception d’une missive venant du préteur Lucius Porcius, en Gaule, qui augmenta la confusion » — (Tite-Live, L’Histoire de Rome, livre XXVII, paragraphe 39)
« Ita ille faxit Juppiter,
quisquis illest, qui adest a milite »
« Que Jupiter envoie ainsi ce drôle,
quel qu’il soit, venant de la part du soldat ! » — (Plaute, L’Imposteur, acte IV, scène 1, paragraphe 298)
« Pherecratem quendam senem , a Deucalione ortum »
« Il introduit un vieillard , un certain Phérécrate, descendant de Deucalion » — (Cicéron, Tusculanes, partie X, paragraphe 21)
« ea sunt omnia non a natura verum a magistro »
« ses légères imperfections ne lui viennent pas de la nature, mais du maître qu'il a choisi » — (Cicéron, Pro Murena, partie XXIX, paragraphe 61)
« Sed haec et vetera et a Graecis »
« Mais tout cela est ancien et aussi tiré de l’histoire grecque » — (Cicéron, Tusculanes, livre I, partie 74)
Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, préf. de Pierre-Yves Lambert, Errance, Paris, 2003, 2e édition, ISBN978-2-87772237-7, page 30
↑Auguste Kerckhoffs, Cours complet de Volapük, contenant thèmes et versions, avec corrigés et un vocabulaire de 2500 mots, Paris : librairie H. Le Soudier, 6e éd., 1886, page 65
Bibliographie
Auguste Kerckhoffs, Cours complet de Volapük, contenant thèmes et versions, avec corrigés et un vocabulaire de 2500 mots, Paris : librairie H. Le Soudier, 6e éd., 1886