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De l’arabe عَبَاءَةٌ(3abâ'@ũ) (« aba »). que Dozy définit comme : « sorte de manteau court et ouvert sur le devant ; il n’a point de manches, mais on y a pratiqué des trous pour y passer les bras; c’est l’habit caractéristique des bédouins d’à peu près tous les temps »[1].
(Habillement) Longue robe, portée par certaines femmes du Moyen Orient et des pays du Maghreb.
Ils nous font quoi avec l’abaya ?— (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 6 septembre 2023, page 3)
Les femmes non qataries ne sont pas tenues de porter l’abaya, une longue robe noire qui couvre la silhouette presque de la tête aux pieds, mais les touristes doivent s’assurer que les hauts couvrent leur ventre et leurs épaules, tandis que les jupes, les robes et les pantalons doivent cacher les genoux.— (AFP, Plus de peur que de mal pour une Argentine qui a célébré les seins nus lors de la finale au Qatar, Le Journal de Québec, 20 décembre 2022)
Baneen a soupiré. Elle m’a regardée d’un air méfiant, elle n’est pas idiote. Elle est allée enfiler son abaya avec le léger dandinement que la grossesse lui inflige.— (Émilienne Malfatto, Que sur toi se lamente le Tigre, Éditions Elyzad, 2020, page 19)
Il y a des accommodements : le tissu de l’abaya peut s’éclaircir au poignet et révéler les bijoux en or.— (Stéphane Marchand, Arabie Saoudite : La menace, 2003)
(Habillement) Long vêtement porté par certains hommes, notamment au Liban.
C’était Saïd beyk, seigneur druze du village de Sahlaïn, vêtu d’une longue abaya aux rayures franches, qui tombait des épaules aux mollets, ajoutant à la majesté de son visage orné d’une moustache blonde.— (Amin Maalouf, Le rocher de Tanios, Grasset, 1993, collection Le Livre de Poche, page 99)