accidentité

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot accidentité. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot accidentité, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire accidentité au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot accidentité est ici. La définition du mot accidentité vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deaccidentité, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Voir aussi : accidentite

Étymologie

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici. Cf. accidentite.

Nom commun 1

Singulier Pluriel
accidentité accidentités
\ak.si.dɑ̃.ti.te\

accidentité \ak.si.dɑ̃.ti.te\ masculin

  1. Personne qui a une tendance pathologique à avoir des accidents, pour des raisons psychologiques ou psychiatriques.
    • La défaite a communiqué cette névrose à tout le pays, qui s’est donné pour chef le plus accidentité des accidentités : Hitler. — (André Maurois, Nouveaux Discours du Docteur O’Grady, chapitre XIV)

Nom commun 2

Singulier Pluriel
accidentité accidentités
\ak.si.dɑ̃.ti.te\

accidentité \ak.si.dɑ̃.ti.te\ féminin

  1. Tendance pathologique à avoir des accidents, pour des raisons psychologiques ou psychiatriques.
    • A propos d’un cas d’accidentité. (On a case of accident proneness) — (Current List of Medical Literature, volume 35, 1959 page 10)
  2. Nature de l’accident, caractéristique qui fait qu’un accident est un accident.
    • La substance peut être connue par sa substantialité, mais non par sa localisation et le fait qu’il peut recevoir l’accident ; de même l’accident peut être connu par son accidentité sans penser au fait qu’il est une couleur, et on sait ensuite qu’il est une couleur mais on ne sait pas encore s’il est une noirceur ou une blancheur. — (ʻAbd al-Raḥmān Badawī, Histoire de la philosophie en Islam volumes 1 à 2, 1972, page 179)