Singulier | Pluriel |
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albertypie | albertypies |
\al.beʁ.ti.pi\ |
albertypie \al.beʁ.ti.pi\ féminin
Passant en revue les essais de lithophotographie ou photographie sur pierre, — de l’albertypie ou photographie sur glace, — dont les épreuves se tirent aux encres grasses ;— (Journal général de l’imprimerie et de la Librairie, Cercle de l'imprimerie, de la librairie et de la papeterie, 1872, page 109)
Dans le livre III se trouvent décrites les opérations relatives aux épreuves positives sur papier, par les différents procédés employés : le procédé au charbon ; les procédés par impression mécanique et vitrification ; la gravure héliographique, l’albertypie et les procédés à la gélatine bichromatée.— (Société chimique de France, Bulletin de la Société Chimique de Paris : comprenant le Procès-verbal des séances, les Mémoires présentés à la Société, l’Analyse des travaux de chimie pure et appliquée publié en France et à l’étranger, Volume 20, Hachette, 1873, page 240)
Nous appellerons seulement leur attention sur une industrie nouvelle qui semble, en ce moment, vouloir disputer au procédé Woodbury, dont MM. Goupil et Comp. sont propriétaire en France, l’attention du public. Nous voulons parler de l’albertypie. Qu'est-ce, dira-t-on, que l’albertypie ? C'est un procédé de tirage à l’encre grasse qu’emploie depuis deux ans environ M. Albert, photographe bien connu de Munich.— (G. Quesneville, Le Moniteur scientifique de Quesneville, Volume 12, Édité Chez M. le Dr. G. Quesneville, 1870, page 48)