albuminurie

Dérivé de albumine, avec le suffixe -urie.

albuminurie \al.by.mi.ny.ʁi\ féminin

1. (Nosologie) Maladie dans laquelle on émet des urines qui contiennent de l’albumine.
   • Si les reins sont plus insuffisants encore, l'influence de l'orthostatisme se traduit en outre par l'apparition d'albumine, ou l'exagération d'une albuminurie déjà existante. — (Georges Dieulafoy, Manuel de pathologie interne: Volume 3, 1904)
   • Quand le malade ne succombe pas, la convalescence est ordinairement longue. . L’albuminurie peut continuer pendant des mois. — (Charles-Albert Vibert, Précis de toxicologie clinique et médico-légale, Paris, Baillière, 1907, p.225)
   • Décédé à Paris le 11 novembre 1872, des suites d’une albuminurie, son corps a été transporté le soir même pour être inhumé dans un caveau de famille, à Sedan. — (Eugène Dupont, Notice nécrologique de François Clément Sauvage, dans La vie rémoise, vol.4, 1869-1872)
   • Quand il est amené dans notre clinique, on constate mouvement subfébrile à 37,8 ; albuminurie légère. Au point de vue psychique, dépression avec anxiété et préoccupations hypocondriaques. — (C. I. Urechia, « Les psychoses grippales », dans les Annales médico-psychologiques, 14^e série/91^e année, tome 1 (janvier-mai 1933), Paris : chez Masson & Cie, 1933, p. 460)

• albuminurique

• La prononciation \al.by.mi.ny.ʁi\ rime avec les mots qui finissent en \ʁi\.
• France (Vosges) : écouter « albuminurie  »

• albuminurie sur l’encyclopédie Wikipédia

• Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (albuminurie)

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albuminurie

1. Albuminurie.