Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
algébroïde | algébroïdes |
\al.ʒe.bʁɔ.id\ |
algébroïde \al.ʒe.bʁɔ.id\
L'on ne peut oublier que le Systema Naturae étendait sa nomenclature binomiale aux trois règnes de la nature. De ces trois règnes, le seul qui nous soit précisément connu est également le seul où la nomenclature linnéenne soit tombé en désuétude. Les binômes latins ont cédé le pas aux symboles algébroïdes et nul ne prétend plus qu'il soit erroné, incommode, voire impie d'écrire NaCl et non plus Sal marinum.— (Guy Roberty, « Proposition sur la nomenclature des groupements systématiques de rang inférieur à l'espèce », dans Candollea, volume 10, Paris : Conservatoire botanique, 1946, p. 340)
Autonne a complété cette étude, en montrant que toutes les intégrales algébroïdes peuvent être déterminées après un nombre fini de transformations.— (Paul Brien, « Études sur deux Hydroïdes gymnoblastiques Cladonema Raduatum (Duj.) et Clava squamata (O. F. Müller) : Origine des cellules blastogénétiques, sexuelles, des cnidoblastes et des cellules glandulaires », dans les Mémoires de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, Mémoires de la Classe des sciences : Collection in-8°, 1942, p. 44)
Singulier | Pluriel |
---|---|
algébroïde | algébroïdes |
\al.ʒe.bʁɔ.id\ |
algébroïde \al.ʒe.bʁɔ.id\ féminin
L'extension aux algébroïdes multiformes des théorèmes sur la croissance de la dérivée et de la partie réelle ainsi que du théorème du module minimum nous permet d'étendre immédiatement aux algébroïdes multiformes le théorème de M. Borel qui nous a servi de base dans les problèmes exposés dans ce fascicule.— (Georges Rémoundos, Extension aux fonctions algébroïdes multiformes du théorème de M. Picard, Mémorial des sciences mathématiques no 23, éd. Gauthier-Villars, 1927, page 61)