(1988) : Du latin reconstitué allostasis, du grec ancien ἄλλος allos, « autre, différent » et στάσις stasis, « pose ». Terme créé par Sterling et Eyer et repris par McEwen et Seeman. — (McEwen, Bruce S., et Teresa Seeman. 1999. « Protective and Damaging Effects of Mediators of Stress: Elaborating and Testing the Concepts of Allostasis and Allostatic Load ». Annals of the New York Academy of Sciences 896(1):30‑47. doi: 10.1111/j.1749-6632.1999.tb08103.x.) — (Sterling, Peter, et Joseph Eyer. 1988. « Allostasis: A new paradigm to explain arousal pathology ». P. 629‑49 in Handbook of life stress, cognition and health. Oxford, England: John Wiley & Sons.)
Singulier | Pluriel |
---|---|
allostasie | allostasies |
\a.lɔ.sta.zi\ |
allostasie \a.lɔ.sta.zi\ féminin
L’allostasie prolongée ou dysrégulée conduit à une « surcharge allostatique », terme créé par Mac Ewen, qui implique des anomalies et la prolongation des réponses neuro-endocrines, métaboliques et immunitaires aboutissant à des états pathologiques chroniques.— (Jean-Paul Bounhoune, Stress, dépression et pathologie cardiovasculaire, 2010)