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Quelques arbres, des amandiers, des pruniers et des abricotiers montraient leurs têtes grêles çà et là, dans cet enclos.— (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre troisième)
L’amandier, l’amélié, (Amygdalus communis) est le premier arbre à fleurir sur nos collines. Il est censé annoncer le printemps, mais il n’est pas sage de s’y fier car l’hiver ne lâche pas si facilement prise et le mois de mars réserve souvent des surprises — (Véronique Mure, Jardins de garrigue, Édisud, 2007, page 87)
Les formes de dégradation du phylum du Chêne-vert sont très nombreuses et constituent l’essentiel du paysage méditerranéen français là où l’homme n’a pas placé ses vignes, ses olivettes, ses vergers d’Amandiers, ses jardins ou ses cultures labourées.— (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, page 174)
Quelques arbres, entre autres un amandier, un des emblèmes de l’espérance, s’étaient logés dans les lézardes.— (Honoré de Balzac, Le Curé de village - III : Le curé de Montegnac)
Lait suprême, divin phosphore Sentant bon la fleur d’amandier, Où vient l’âpre soif mendier, La soif de toi qui me dévore— (Paul Verlaine, Monte sur moi comme une femme)
Ces jeux enfantins étaient entrecoupés par des orgies de gomme d’amandier, une gomme rousse comme du miel : friandise sucrée, et merveilleusement gluante, mais fortement déconseillée par l’oncle Jules, qui prétendait que cette gomme « finirait par nous coller les boyaux ».— (Marcel Pagnol, La gloire de mon père, 1957, collection Le Livre de Poche, page 179)