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D’accord, on ne s’angoisse sur la mort que parce qu’on était « angoissable » ; mais on ne devient effectivement angoissé que parce qu’une religion y conduit.— (Paul Veyne, Le Quotidien et l’intéressant. Entretiens avec Catherine Darbo-Peschanski, Les Belles Lettres, Paris, 1995, page 88)
Lorsqu’elle est plus impliquée affectivement dans sa relation à l’égard de l’enfant, la mère est éventuellement plus sensible, ou plus angoissable qu’une autre personne adulte.— (Yves-Hiram Haesevoets, Fabienne Glowacz, L’enfant victime d’abus sexuel intra-familial, dans Les abus sexuels d’enfants, Pierre Mardaga, Liège, 1996, page 150)
Si la critique de Laurent Jenny touche juste, il me semble qu’elle omet de noter ce qu’il y a, aussi, de profondément rassurant dans cette transformation du statut du sujet : au lieu d’être un sujet, un Moi (c’est-à-dire le siège de l’angoisse, un être angoissé et angoissable, responsable des décisions prises, plus ou moins assumables), je deviens l’opérateur neutre d’une opération répétable ;— (Dominique Rabaté, Portrait de l’artiste en opérateur ? (Georges Perec, Roman Opalka), dans Les années 70: De l’expérimentation à l’institutionnalisation, Les Cahiers d’ARTES, no 1, Presses Universitaires de Bordeaux, 2006)
↑Figure dans la deuxième édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 17.