Singulier | Pluriel |
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apéréa | apéréas |
\a.pe.ʁe.a\ |
apéréa \a.pe.ʁe.a\ masculin
La taille du Cobaye austral est toujours moindre que celle de l’Apéréa; les plus grands des individus qui ont servi de types à notre description , n'avaient pas même huit pouces de longueur totale.— (Isidore Geoffroy Saint-Hilaire, Études Zoologiques, Paris : chez Lequien fils, 1832, fasc.1, Mammifères : planche 12)
On a cherché, mais vainement, à retrouver, en Amérique, le cochon d’Inde à l'état sauvage. Plusieurs naturalistes croient qu'il descend de l’apéréa; mais les différences sont telles entre ces deux animaux, qu'on ne peut admettre une telle origine. Du reste, le cochon d'Inde et l’apéréa ne s'accouplent pas ensemble.— (Alfred Edmund Brehm, La vie des animaux illustrée description populaire du règne animal, vol.2 : Les Mammifères, édition française par Z. Gerbe, Paris : chez J. B. Baillière & fils, 1869, p.206)
; on les a choisies chargées de solanine, et on n'a pas cherché à obtenir de gros tubercules, pour en détourner les cobayes sauvages, les Apéréas et les autres rongeurs, si bien que ces plantes ne sont pas du tout des plantes bien différentes de notre pomme de terre proprement dite ; .— (Louis Blaringhem, Les Associations végétales: commensalisme et symbiose, Université de Paris, 1948, p.15)