Singulier | Pluriel | |
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Masculin | appropriateur \a.pʁɔ.pʁi.ja.tœʁ\
|
appropriateurs \a.pʁɔ.pʁi.ja.tœʁ\ |
Féminin | appropriatrice \a.pʁɔ.pʁi.ja.tʁis\ |
appropriatrices \a.pʁɔ.pʁi.ja.tʁis\ |
appropriateur \a.pʁɔ.pʁi.ja.tœʁ\
Le lieu étranger est un entre-nous au sens où il n’appartient ni à nous (nationalisme offensif et appropriateur), ni à un autre nous (multiculturalisme), ni à tous (cosmopolitisme).— (Sophie-Anne Bisiaux, Commun parce que divisé : Le monde à l’épreuve de l’étranger, 2022, page 24)
Singulier | Pluriel |
---|---|
appropriateur | appropriateurs |
\a.pʁɔ.pʁi.ja.tœʁ\ |
appropriateur \a.pʁɔ.pʁi.ja.tœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : appropriatrice)
Chez Gide. Je remarque sur une cheminée une très belle photographie de Rimbaud. « Le cliché en appartient à Mme Van Rysselberghe, me dit-il. Il en existait une excellente reproduction qui se trouvait à La nouvelle revue française. Cocteau l’a vue. Cocteau est un des plus grands appropriateurs qui soient et il s'en est emparé. »— (Julien Green, Journal intégral, tome Ier : 1919-1940, 10 novembre 1931 ; Éditions Robert Laffont, coll. Bouquins, Paris, 2019, p. 317)