Singulier | Pluriel |
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archéobotanique | archéobotaniques |
\aʁ.ke.o.bɔ.ta.nik\ |
archéobotanique \aʁ.ke.o.bɔ.ta.nik\ féminin
Au sein des études dites paléoenvironnementales, et à côté de l’archéozoologie et de la géoarchéologie, l’archéobotanique rassemble elle-même plusieurs disciplines. Elles ont en commun d’étudier les vestiges d’origine végétale, et de se situer au croisement de la botanique, de l’archéologie et de l’ethnologie.— (Joachim Mion, Archéobotanique sur www.archeologiesenchantier.ens.fr)
Ces changements, tout autant que les changements environnementaux, sont l’objet des études de l’archéobotanique.— (Francis Brumont, Prés et pâtures dans l’Europe occidentale: actes des XXVIIIe Journées Internationales d’Histoire de l’Abbaye de Flaran 15 et 16 septembre 2006, 2008)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
archéobotanique | archéobotaniques |
\aʁ.ke.o.bɔ.ta.nik\ |
archéobotanique \aʁ.ke.o.bɔ.ta.nik\ masculin et féminin identiques
Elle est bien la plus exhaustive des disciplines archéobotaniques, puisqu’elle perçoit toute la végétation (la strate herbacée comme arborée, les plantes à fleurs, mais aussi les mousses et les fougères).— (Muriel Boulen, « Approche environnementale des sociétés humaines », in La Fabrique de la France, sous la direction de Dominique Garcia, Flammarion/Inrap, 2021, page 275)