Singulier | Pluriel |
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assureuse | assureuses |
\a.sy.ʁøz\ |
assureuse \a.sy.ʁøz\ féminin (pour un homme, on dit : assureur)
C’est alors que la complice était intervenue. Au téléphone, elle s’était fait passer pour une assureuse jointe par son client, et avait persuadé l’octogénaire de verser 1 300 euros en guise de « réparation ».— (« Lyon : Le couple avait inventé un accident pour arnaquer un octogénaire », dans 20 minutes, 14 mai 2015 )
Deuxièmement, si les inconditionnels d’«autrice» sont logiques avec eux-mêmes, ils doivent également s’attaquer à tous les autres féminins illogiques. Or, j’aimerais bien voir s’ils sont tout aussi prêts à dire «une assureuse», «une défenseuse», «une entrepreneuse», «une gouverneuse», «une metteuse en scène», «une procureuse», «une réviseuse», «une superviseuse», «une vainqueuse». Parce qu’en français, lorsqu’un nom est dérivé d’un verbe, c’est la terminaison en «euse» et non en «eure» qui est logique. Préférer «assureure» ou «réviseure», c’est se ranger du même côté que ceux qui préfèrent «auteure».— (Steve Bergeron, « Un instant, les autrices ! », dans Le Soleil, 6 mai 2019 )
Je cherche et sens mes bras se gonfler d’acide. Puis je commence à entendre la voie de mon assureuse. Je dois me rapprocher ! Je donne tout pour sortir des ce maudit dévers. Maintenant il reste 4 longueurs. Et on va le faire !— (Sébastien Ratel, Mexico climbing trip sur millet.fr, 17 mai 2007)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin | assureur \a.sy.ʁœʁ\
|
assureurs \a.sy.ʁœʁ\ |
Féminin | assureuse \a.sy.ʁøz\ |
assureuses \a.sy.ʁøz\ |
assureuse \a.sy.ʁøz\
L’Angleterre commerçante, transporteuse, banquière, assureuse, a véritablement mis le monde en forme pour la collaboration économique.— (Bertrand de Jouvenel, Quelle Europe ?, Le Portulan, 1947, page 181)