Singulier | Pluriel |
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autogare | autogares |
\o.to.ɡaʁ\ |
autogare \o.to.ɡaʁ\ féminin
À Bordeaux, ville d’une importance à peu près égale à Alger, il existe une autogare due à l’initiative de la Compagnie « Citram ».— (Syndicat des entrepreneurs de travaux publics de l’Algérie et de la Tunisie, Le Journal général des travaux publics et du bâtiment, 1935)
MM. Boutet et Dautry ont inauguré, à Metz, le mois dernier, une autogare pourvue de toutes les commodités.— (journal La Croix, 26 octobre 1935[1])
De nombreuses villes de France ont créé des autogares, dans le numéro de mars-avril de l’Ingénieur-Constructeur, Mr Lemay décrit les principales d’entre elles, ainsi qu’un projet d’autogare étudié pour la ville de Rennes.— (Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères, 1935)
Ainsi sa fonction de transit a eu pour effet de développer une sorte de spécialisation mécanique et « voyagiste », et des quartiers entiers de la ville d’Agadez sont voués à cette activité, qu’il s’agisse du quartier de l’autogare, de la route d’Arlit ou même du centre-ville.— (Ali Bensaad, « La grande migration africaine à travers le Sahara », revue Méditerranée, année 2002, volume 99, numéro 3, pages 41-52, page 48[2])
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