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— A-t-il avoué que cette femme était sa maîtresse ? — L’aveu eût été superflu. Il n'a pas nié, d'ailleurs, .— (Fortuné du Boisgobey, Double-Blanc, Paris : chez Plon & Nourrit, 1889, p. 229)
Puisqu'il faut tout avouer, je descendrai en moi jusqu'au tréfonds, j'en remuerai la lie et j'en étalerai la pestilence.— (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 48)
Si Dimitri ne voulait pas épouser Phoebe, il aurait au moins dû avoir le courage de l’avouer et de rompre formellement sa promesse. Au lieu de cela, il avait opté pour le silence et l'hypocrisie, .— (Lucy Monroe , Pour l'honneur des Pétronides, traduit de l'anglais, dans le volume Séducteurs, éd. Harlequin, coll. Coup de Cœur, 2012)
On le dit auteur de plusieurs productions que n’avouent ni le goût, ni les mœurs et entre autres du roman souvent réimprimé de Félicia ou mes Fredaines. — (Biographie nouvelle des contemporains ou Dictionnaire historique et raisonné de tous les hommes qui, depuis la Révolution française, ont acquis de la célébrité ..., par MM. A. V. Arnault, A. Jay, E. Jouy, J. Norvins, etc. , vol. 1, Paris : à la Librairie historique, 1820, page 175)
Ainsi Le Chesne-Populeux (Ardennes) et La Chapelle-Gauthier (Eure) qui vénèrent au premier chef saint Martin dans un cas et Notre-Dame dans l'autre, avouent saint Jacques pour patron.— (Léon Pressouyre, Pèlerinages et croisades, France Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, 1995, page 89)
Il hocha la tête, soupirant, s’avouant très bas, que peut-être il eût préféré que Jeanne noçât sans rien lui dire, plutôt que de l’abandonner brutalement ainsi.— (Joris-Karl Huysmans, En ménage, Paris : chez Charpentier, 1881 ; édition critique de Gilles Bonnet, Librairie Droz, 2005, p. 254)
— Tout de même, qu’est-ce que nous sommes depuis deux ans ? De pauvres malheureux incroyables, mais aussi des sauvages, des brutes, des bandits, des salauds. — Pire que ça ! mâcha celui qui ne savait employer que cette expression. — Oui, je l’avoue !— (Henri Barbusse, Le feu : journal d'une escouade, Flammarion, 1916, p. 363.)