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bâtissable\bɑ.ti.sabl\masculin et féminin identiques
(Belgique)(Canada) Qualifie une surface sur laquelle on peut bâtir. Note : En France, on utilise plus souvent le mot constructible.
Ces définitions étant établies en fonction d'un espace bâtissable utilisé à son maximum, il faudra, dans le cadre du présent chapitre, considérer que l’espace bâtissable non utilisé vienne agrandir chacune des cours ….— (Municipalité d’Adstock — Règlement de zonage, 69-07)
Certaines parcelles en bordure non bâtissable du site revêtent un caractère stratégique car malgré leur affectation en zone verte, elles sont particulièrement soumises à une volonté d’urbanisation.— (Diane Leduc, Denis Zastavni (dir.), Recherche et enseignement en architecture, génie architectural, urbanisme: Influences et complémentarités, Presses Universitaires de Louvain, 2019, page 271)
« Un terrain à bâtir n’est pas nécessairement bâtissable », nous dit la Région wallonne.— (Région du Centre: la carte du risque d’inondation en un clic, lameuse.sudinfo.be, 27 juillet 2021)
Il se plaît à considérer la Mathématique comme bâtissable à partir de ce minimum d’expérience : la durée ; . — (Études religieuses, historiques et littéraires, volume 121, J. Lanier et Cie, Paris, 1912, page 427)
avec des emplois de la perspective qui ne permettraient rien d’habitable ni même de bâtissable dans le champ de réalité où cet architecte s’emploie, . — (Yves Bonnefoy, L’Imaginaire métaphysique, Éditions du Seuil, Paris, 2016)
Aucune thèse ne pouvait plus désormais aller à l’encontre de cette folie diabolique, car que pouvait-il rester de bâtissable après des siècles de désinvolture.— (Katiana & Marc-Pierrot Domecellot, Chimère ou le temps de l’exil, TheBookEdition, 2012, page 134)
↑Figure dans la première édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1842, page 194 (définition de « imbâtissable »).