Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
belgophobe | belgophobes |
\bɛl.ɡɔ.fɔb\ |
belgophobe \bɛl.ɡɔ.fɔb\ masculin et féminin identiques
Le successeur de Charpentier, à Léopoldville, Ghislain Clauzel, rencontre Adoula en juin 1962 et entend un discours assez similaire à la « diatribe » belgophobe de Kasavubu. Depuis l’automne 1961, la compétition franco-belge est de plus en plus alimentée par Léopoldville. Critiquer les Belges en présence d’un diplomate français est devenu monnaie courante chez les autorités congolaises.— (Vincent Genin, « La France et le Congo ex-belge (1961-1965). Intérêts et influences en mutation », dans Revue belge de philologie et d’histoire, tome 91, fascicule 4, 2013, page 1083)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
belgophobe | belgophobes |
\bɛl.ɡɔ.fɔb\ |
belgophobe \bɛl.ɡɔ.fɔb\ masculin et féminin identiques
À la suite d’une enquête activement menée par la police belge, on vient d’arrêter un des auteurs présumés du meurtre de la sentinelle belge tuée à Ober-Cassel, ainsi que le sergent de garde qui était venu à son secours. C’est le fils d’un cabaretier de la ville, dont le père, belgophobe notoire, avait eu une altercation avec le sergent, à la suite d’injures prononcées par lui contre le corps belge d’occupation.— (« On croit tenir les auteurs de l’attentat d’Ober-Cassel » dans La Croix, 5 septembre 1922, page 2, colonne 5)