berceau de la chrétienté \bɛʁ.so də la kʁe.tjɛ̃.te\ masculin
Il n’était ni plus ni moins intelligent que les autres et, comme eux, il portait dans le coeur le mot de Jérusalem et nourrissait pour la Terre sainte, en dépit des revers et des trahisons, un amour sans limites. Le « berceau de la chrétienté » restait sa raison de vivre.— (George Bordonove, La tragédie des Templiers, Éditions Tallandier, 2011, p. 54)
Irak : Les minorités religieuses menacées dans le berceau de la chrétienté— (Fdesouche, 12 août 2014)
Maintenant, à Rome, puisqu'il faut tout de même aller au berceau de la chrétienté, il ne faudrait pas oublier un pape des premiers siècles, qui a joué un rôle.— (Assemblée nationale du Québec, Journal des débats de la Commission permanente de l’éducation, des affaires culturelles et des communications, 8 juillet 1977)