Singulier | Pluriel | |
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Masculin | bergsonien \bɛʁɡ.sɔ.njɛ̃\ |
bergsoniens \bɛʁɡ.sɔ.njɛ̃\ |
Féminin | bergsonienne \bɛʁɡ.sɔ.njɛn\ |
bergsoniennes \bɛʁɡ.sɔ.njɛn\ |
bergsonien \bɛʁɡ.sɔ.njɛ̃\ masculin
je me demande donc s'il ne conviendrait pas de chercher à approfondir cette théorie des mythes, en utilisant les lumières que nous devons à la philosophie bergsonienne— (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, 1908, chapitre IV → lire en ligne)
Ces images d’un dialogue, exprimant les inflexions, les retours, les questions, les fausses rigueurs d’un pur développement de l’esprit, ne sont point les seules que fournisse la tactique idéaliste : il est possible de leur opposer une esquisse bergsonienne du développement de toute philosophie en général : « Plus nous remontons vers cette intuition originelle, mieux nous comprenons que si Spinoza avait vécu avant Descartes, il aurait sans doute écrit autre chose que ce qu’il a écrit, mais que Spinoza vivant et écrivant, nous étions sûrs d’avoir le spinozisme tout de même. »— (Paul Nizan, Les chiens de garde, 1932, page 20)
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