Singulier | Pluriel |
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bi-implication | bi-implications |
\bi.ɛ̃.pli.ka.sjɔ̃\ |
bi-implication \bi.ɛ̃.pli.ka.sjɔ̃\ féminin
L’équivalence est une relation entre formules tandis que la bi-implication est un connecteur (binaire) qui à partir de deux formules forme une nouvelle formule.— (Thierry Lucas, Isabelle Berlanger, Isabelle De Greef, Initiation à la logique formelle : exercices et corrigés, De Boeck Supérieur, 2005, p. 36)
Lorsqu’une bi-implication est tautologique, on dit, dans le métalangage, que les deux membres de la bi-implication sont équivalents, ce qui revient à dire que ces deux membres prennent, pour toute interprétation des lettres de propositions la même valeur de vérité.— (Rudiments de logique propositionnelle, site www.ifac.univ-nantes.fr)
L’autre connecteur s’appelle bi-implication et peut se paraphraser par « on n’a pas A sans B et on n’a pas B sans A ». On le note « <=> ».— (Guy Politzer, La logique, le langage et les variétés du raisonnement, page 13)
Singulier | Pluriel |
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bi-implication \Prononciation ?\ |
bi-implications \Prononciation ?\ |
bi-implication \Prononciation ?\
Like implication as such, bi-implication is also one of the usual connectives— (C. J. Date, Logic and Databases: The Roots of Relational Theory, Trafford Publishing, 2007, p. 57)
If p and q are propositions, then p ↔ q is called a biconditional statement (or bi-implication) and is read “p if, and only if, q”— (Conditional Statements, ~ 2010)
Bi-implication theorem proving— (titre d’un fil de discussion sur le site math.stackexchange.com, 28 novembre 2013)