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Un second trappeur était accroupi devant la hutte, occupé à surveiller la cuisson de la bosse de bison que l’Élan-Noir avait annoncée à ses convives.— (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
"C'est inestimable. Certaines personnes viennent ici, elles n'ont pas le moral et repartent changées", explique l’éleveur de Siksika. "Par le passé, la naissance d’un bison blanc a toujours été un signe d'espoir. Je suis sûr que de bonnes choses vont arriver."— (Radio-Canada, La naissance d’un bison blanc vue comme un signe d’espoir, radio-canada.ca, 21 mai 2021)
D’azur à une gerbe de blé d’or au chef de bleu céleste chargé d’un bison arrêté d’or, qui est de Regina du Saskatchewan → voir illustration « armoiries avec un bison »
Emprunt au gotique 𐍅𐌹𐍃𐌰𐌽𐌳𐍃, wisands, au grec ancien βίσων, bísôn ou issu de l’indo-européen commun *veis-onto (« dont le musc sent ») ; voyez virus ou viscus pour des mots en latin issus de la première partie du radical et odor pour la seconde.
De cette racine découle l'ancien haut allemand wisunt, wisant, l’allemand Wisent, le scandinave visundr, le vieux prussien wis-sambrs, le protoslave zo^brú (par chute de la nasalisation), d’où зубр, zubr, żubr en russe, tchèque et polonais.
Terra dives virum ac populis numerosis et inmanibus; unde et propter fecunditatem gignendorum populorum Germania dicta est. Gignit aves Hyrcanias, quarum pinnae nocte perlucent; bisontes quoque feras et uros atque alces parturit.— (Isidore de Séville, Etym. XX, 14)