bityé

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Étymologie

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Verbe

bityé \Prononciation ?\

  1. Défricher.
    • Dòt nég ka bityé lakou a nanm
      Pannan niyaj an bòdé èvè bon lèspwi
      Tan ka fè flè si kòsyè a mòn
      Larichès ka détiré ko a-y…
      — (Didyer Mannette, Larmes des mots : Pawòl savann, éditions Nèg Mawon, 2015)
      La traduction en français de l’exemple manque. (Ajouter)

Nom commun

bityé \Prononciation ?\

  1. Défrichage
    • Tanbou,
      ou sé on pyès-fanm,
      doubout dwèt kon bitasyon san bityé ;
      — (Sonny Rupaire, « Tanbou » dans Cette igname brisée qu'est ma terre natale : Gran parad ti kou baton, 1971, traduction sur kawann.k1.online.fr → lire en ligne)
      Tambour,
      tu es une forte femme,
      debout droite comme un champ non défriché ;
  2. Terrain qui a été défriché.
  3. (Par extension) Jardin, lieu clos dans lequel on cultive des légumes, des fleurs, des arbres, etc.
    • Jan nou ka fè kuizin Ozanti toujou gadé tras a mès é labitid a pèp Mérendyen. Kon yo, nou ka sèvi èvè piman, nou ka planté mannyòk ki sòti adan tè bityé an nou. — (Semaine du créole 2014/2015 : « Vivasyon alantou a bwè é manjé an Gwadloup » sur pedagogie.ac-guadeloupe.fr, page 28 → lire en ligne)
      La façon dont nous cuisinons a toujours gardé des traces des manières et des habitudes des peuples Amérindiens. Comme eux, nous assaisonnons avec du piment et nous plantons du manioc qui provient de la terre de nos jardins.

Quasi-synonymes

Références

  • Sylviane Telchid et Hector Poullet, Le créole guadeloupéen de poche, Assimil, 1999, 205 pages