Singulier | Pluriel |
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bizutage | bizutages |
\bi.zy.taʒ\ |
bizutage \bi.zy.taʒ\ masculin
Que telle étudiante ait retrouvé son équilibre, on doit s'en réjouir. Mais il y en a beaucoup d'autres qui restent marquées par un bizutage qui effectivement dépasse les bornes de ce qui doit être normalement admis.— (L'Hygiène mentale: Organe de la ligue française d'hygiène mentale, vol. 49-50, éditions H. Delarue, 1960, page 115)
Les étudiants savent qu'ils risquent de devoir y subir un bizutage, mais en vertu de la loi du silence qui les accompagne, ils ne savent rien des brimades qu'ils auront à subir.— (René de Vos, Le Bizutage, Presses Universitaires de France, 1998)
, il semble que l'on assiste à une recrudescence et un « durcissement » des bizutages, en médecine, mais plus encore dans les classes préparatoires, les écoles d'ingénieurs ou de commerce, et les IUT.— (Emmanuelle Godeau, « Le baptême », chap. 3 de L’« esprit de corps »: Sexe et mort dans la formation des internes en médecine, Ethnologie de la France, no 29, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 2007, page 95)
La loi interdit les bizutages. Depuis 1998, c'est un délit. Avant cette date, le cul de chaque Français était livré à la confrérie des manches à balai.— (Charb, « Mort aux bizutages qui tournent mal ! », dans Les Fatwas de Charb : Petit traité d'intolérance, tome 2, éd. Les Échappés/Charlie Hebdo, 2014)
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