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Le mot est attesté pour la première fois sous la forme du latin médiéval boscus en 704 dans un diplôme de Childéric III et devient fréquent dans la Romania au neuvième siècle au sens de « terrain boisé » ; le gallo-roman a pénétré en Catalogne (878 → voir bosc) puis en Espagne (1493, bosque) et en Italie du Nord. Cette filiation des langues romanes est en faveur d’une origine francique plutôt que germanique.
Bos, bosc repose sur un nominatif pluriel *bŏsci car bŏscus aurait résulté *büis et non bois.
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage
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La forme primitive semble avoir été *bo-uis, avec la même contraction vocalique que l'on a pour Juppiter, Jovis. Notez la réduplication du radical dans les dérivés comme bubulus.
De l’indo-européen commun *gʷōws (« bovin ») qui donne le grec ancien βοῦς, cow en anglais, Kuh en allemand, govedo en protoslave : hovado en tchèque ; c’est probablement une forme dialectale osque ou ombrienne, car le *gʷ indo-européen aurait normalement dû donner *v et non *b (voir par ex. venio, vivo).
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →