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(Adjectif)(XIIe siècle) Origine incertaine. Pourrait venir de l’ancien français bot (« crapaud ») → voir nabot, ou d’une racine indo-européenne *bŭtt (« rond, émoussé »)[1] → voir butt en anglais, bot en néerlandais.
Les garçons avaient seulement ôté leurs vestes, les filles avaient changé de coiffe et relevé leurs tabliers de ratine ; mais tous avaient gardé leurs sabots, disons comme eux leurs bots, sans doute pour se donner plus d’aplomb et pour mieux marquer, avec ces lourds patins, la mesure de cette lourde et sautante pantomime appelée la bourrée.— (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, pages 19-20)
Il existe toutes sortes de bots utiles : robots de recherche, inforobots, robots bibliothécaires, etc.
En parlant avec un bot IRC il est possible de gagner des droits sur le canal de communications.
Les bots de ce jeu vidéo permettent de se former au jeu en équipe sans accès à Internet.
Une enquête menée par l’organisation à but non lucratif Global Witness a révélé que des comptes de « bots » sur X ont publié plus de 60 000 tweets vus près de 150 millions de fois avant les élections britanniques du 4 juillet. L’ONG a ajouté que ces bots ont renforcé au Royaume-Uni les messages politiques clivants et souvent haineux, sapant ainsi le discours démocratique.— (Julia Tar, traduite par Marine Beguin, Désinformation : les élections nationales plus touchées que les européennes, Euractiv.com, 12 juillet 2024)
(Anglicisme informatique) L’ordinateur infecté lui-même, lorsqu’il exécute les commandes de son maître.
Définition 56 Un botnet est un réseau malveillant constitué de machines compromises (encore dénommées « agents », « bots » ou « machines zombies »), contrôlées à distance par une ou plusieurs entités et permettant une gestion distribuée d’actions offensives ou malveillantes.— (Éric Filiol, Les Virus informatiques : théorie, pratique et applications, 2009)
Synonymes
Programme informatique automatisant des tâches répétitives :
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage
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François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →
Faliá mandar e remontar lo ferrat mai de dètz còps au bot de sa cadena liura.— (Magalí Bizot-Dargent, Esquissas per un retrach de l'ombra, 2014 )
Il fallait envoyer et remonter le seau plus de dix fois au bout de sa chaîne libre.
Lo jutge, contactat per telefòne, au bot de cinquanta assais ( es totjorn ocupat ! ) me balha l’autorisacion de l’interrogar.— (Florian Vernet, Popre ficcion, 2001 )
Le juge, contacté par téléphone, au bout de cinquante essais (il est toujours occupé ! ) me donne l’autorisation de l’interroger.
Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, préf. de Pierre-Yves Lambert, Errance, Paris, 2003, 2e édition, ISBN978-2-87772237-7, page 92