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Ils étaient quinze, tous chemisés de rouge et bottés de fauve.— (Maurice Bedel, La nouvelle Arcadie, 1934)
Les jours de gros embouteillages car les touristes qui ne trouvaient rien d’autre à faire, se hasardaient en voiture dans des rues qui n’étaient pas faites pour ça, les jours où les crêperies refusaient du monde et où les villes du littoral étaient envahies par des troupes bottées, capelées de cirés comme des terre-neuvas.— (Jean Failler, Boucaille sur Douarnenez, éditions du Palémon, 1998, chapitre I)
— Et vous, aimez-vous Napoléon ? — Madame, je n’aime pas la Révolution. Et Napoléon, c’est la Révolution bottée. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, pages 57-58)
Il avait réussi à prendre quelques photos : des CRS à moitié endormis, bottés et casqués, le Mauser lance-grenades à la bretelle, rencognés, non loin du CHU et de la fac de droit, comme une poignée d’oiseaux mouillés, sous les grimaces provocatrices et vengeresses des masques de pierre du vieil hôtel de Cerisy ; un garde-mobile ronflant la bouche ouverte, le visage grotesquement déformé par la vitre du car Berliet le long duquel sa joue s’était ventousée comme une limace ; un gradé en civil, arrogant et sec, juché sur le refuge central du carrefour des Palomières comme un coq sur son fumier.— (Alain Demouzon, Le retour de Luis, 1977, chapitre 1)
Les noms des différents types de bottés ont résulté d'un effort de francisation, au Canada français, des termes anglo-saxons correspondants au football canadien, au cours des années (19)50 et (19)60.