Invariable |
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bourre-cochon \Prononciation ?\ |
bourre-cochon \Prononciation ?\ masculin
On a tous été dîner dans un restaurant spécialiste de la choucroute. . Chez les Foidville, surtout P’tibout, on considère ce plat comme un bourre-cochon, c'est dire la raison de mon ignorance. J'ai trouvé ça excellent et j'ai repris un peu de tout.— (Paul Maj, La Bonne des Foidville : Journal intime, Éditions Publibook, 2005, p. 301)
— C'est pas possible, le Rouquin, t'as été cuisinier dans un bourre-cochon de la haute pour les ratisser de la sorte, s'écrie Anatole...— (La poilue, par une première de la Rue de la paix, éd. Albin Michel, 1916, p. 75)
Je pourrais, sous le coup de la suspicion amicale, te déballer tout à trac, cher Robert, mes condés alimentaires, adresses confidentielles recueillies au cours d'une vie tout entière consacrée à la recherche. Saurais-tu en garder le secret ? En aurais-tu même le droit ? La déontologie du chroniqueur gastronomique n'oblige-t-elle pas le chantre du miam-miam à affranchir ses lecteurs, sitôt que connue, de l'existence d'un bourre-cochon de qualité ?— (Le Crapouillot, 1967, p. 66)