Singulier | Pluriel | |
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Masculin | brechtien \bʁɛk.tjɛ̃\ |
brechtiens \bʁɛk.tjɛ̃\ |
Féminin | brechtienne \bʁɛk.tjɛn\ |
brechtiennes \bʁɛk.tjɛn\ |
brechtien \bʁɛk.tjɛ̃\
À l’origine du théâtre brechtien, ce constat formulé sur le ton de l’évidence dans l’un des premiers textes théoriques importants du dramaturge allemand, « Sur une nouvelle dramaturgie » (1928) : « La vieille forme du drame ne permet pas de représenter le monde tel que nous le voyons aujourd’hui ».— (Sylvain Diaz, Le Lehrstück brechtien, théâtre de l’accident, agon.ens-lyon.fr)
L’appellation episches Theater recouvre aujourd’hui toutes les pratiques théâtrales populaires ou révolutionnaires qu’on qualifie de « brechtiennes » dans le monde.— (Sabine Kebir, « EPISCHES THEATER/THÉÂTRE BRECHTIEN », Freie Universitat, Berlin)
Singulier | Pluriel |
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brechtien | brechtiens |
\bʁɛk.tjɛ̃\ |
brechtien \bʁɛk.tjɛ̃\ masculin (pour une femme, on dit : brechtienne)
Le questionnement politique mis à jour dans les pièces réalistes du Théâtre en liberté, qui explique que les brechtiens s’en soient emparés, n’est pas absent, même en demi-teinte, des pièces de l’époque romantique.— (Florence Naugrette, La Mise en scène du théâtre de Hugo de 1870 à 1993)