Singulier | Pluriel |
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brelin blanc | brelins blancs |
\bʁə.lɛ̃ blɑ̃\ |
brelin blanc \bʁə.lɛ̃ blɑ̃\ masculin
On mange aussi la Purpura lapillus qui est nommée brelin blanc, par opposition avec le bigorneau ou brelin noir (Littorina littorea).— (Bulletin de l’Institut Océanographique de Monaco, numéros 191 à 219, 1911, page 13)
D’une taille un peu plus forte que les littorines, un mollusque également commun dans la Manche et l’Océan, Purpura lapillus, appelé brelin blanc dans le Cotentin, se vend parfois sur les marchés du Tréport, de Cherbourg, de Rochefort, etc., en dépit de l’odeur nauséabonde qu'il dégage à la cuisson.— (Henry Cardot, Les gastéropodes comestibles, dans le Bulletin de la Société scientifique d’hygiène alimentaire et d’alimentation rationnelle de l’homme, tome VI, Masson, Paris, 1918, page 146)
Le burgau blanc se mange comme la guignette, mais il est beaucoup moins estimé. On le nomme brelin blanc en Normandie, ouarque à Biarritz et à Saint-Jean-de-Luz.— (F. Faideau, Les mollusques comestibles des Côtes de l’Aunis, dans les Annales de la Société des sciences naturelles de la Charente-Inférieure, no 38, La Rochelle, octobre 1921, page 49)
La littorine bretonne, petite espèce jaunâtre, est le petit bigorneau ; la pourpre à teinture est le brelin blanc en Normandie, le burgau blanc en Aunis, l’ouarque à Biarritz.— (Larousse ménager, dictionnaire illustré de la vie domestique, Paris, 1926, page 185)
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