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« Prends un brevet dans ce tiroir, et donne-le-moi ». De Guiche prit le brevet indiqué d’une main, et de l’autre présenta à Monsieur une plume toute trempée dans l’encre. Le prince signa.— (Alexandre Dumas, Le Vicomte de Bragelonne, 1847, Michel Lévy frères, page 242)
Il a reçu le brevet de sa pension, son brevet de colonel, de lieutenant, de capitaine. On dit encore Brevet de la Légion d’honneur.
« Le mouvement perpétuel est impossible : il faut se tenir loin de ceux qui le trouvent. » Cet aphorisme incisif et précis est de Joseph Bertrand ; il devrait être écrit sur les murs des bureaux de brevets, car il détournerait peut-être certains inventeurs de la poursuite d’une vaine chimère.— (Aimé Witz, Le mouvement perpétuel de deuxième espèce, dans La Revue scientifique, 2e sem. 1910)
En 1888, Baur prenait un brevet pour la fabrication de musc artificiel, en prenant comme point de départ un composé appelé toluène, qui est extrait du goudron de houille.— (Marcel Hégelbacher, La Parfumerie et la Savonnerie, 1924, page 146)
Gwasocʼh eged ar sturier, heti a ree beza henchet gand an ankou, ha taolet ha brevet war reier gouez eun aod dianav.— (Jakez Riou, Lizer an hini maro, Brest, 1925, page 58)
Pire que le timonier, il souhaitait être dirigé par l’Ankou, et jeté et brisé sur les rochers sauvages d’un rivage inconnu.
Emaoun aman о cʼhortoz n’ouzon dare pe zarvoud da lakaat eun tammig lusk em faour kaez buhez vrevet.— (D. K. Kongar, Gant blaz an avalou ruz..., Gwalarn, no 92, janvier 1937, page 9)
J’attends je ne sais quel incident pour mettre un peu de mouvement dans ma pauvre vie brisée.
Ha n’eo ket gwellocʼh kement-se eget na deo sevel d’al lun vintin, ar gouzoug disecʼh, ar penn pounner ha divoued, ar cʼhorf brevet, evel ma cʼhoarvez gant ar re a dremen o nozvezhioù en ostalerioù, ocʼh evañ hag o cʼhoari ?— (Lan Inizan, Emgann Kergidu2, Éditions Al Liamm, 1977, page 127)
Et cela n’est-il pas mieux que de se lever le lundi matin, la gorge sèche, la tête lourde et vide, le corps fourbu, comme cela arrive à ceux qui passent leurs nuits dans les auberges à boire et à jouer ?
Nebeut goude e oa ar paourkaezh paotr diskennet d’an douar, brevet-holl met disammet da vat.— (Jef Gedez, Huñvreoù Pêr Mortolod, An Alarcʼh Embannadurioù, 2005, page 59)
Peu après le pauvre homme était descendu à terre, complètement épuisé mais soulagé.
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →