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(Religion) Qualifie un saint qui porte sa tête après sa décapitation, ou qui porte la tête d’un autre saint décapité.
Un inventaire des saints céphalophores est bien révélateur de l’origine de la figuration. Si l’on met à part les cas exceptionnels de saint Grat et de saint Cot portant respectivement les têtes de saint Jean-Baptiste et de saint Prix, la distribution des saints céphalophores est significative du culte parisien.— (Jacques Baudoin, Grand livre des saints : culte et iconographie en Occident, Nonette : Éditions Créer, 2006, page 42)
(Christianisme)Saint qui porte sa tête après sa décapitation, ou, plus rarement, qui porte la tête d'un autre saint décapité.
Il n'est pas indifférent de signaler que cette extrémité sud de la vallée marécageuse du Thérain a vu successivement l'implantation de plusieurs églises dédiées à des céphalophores: St. Lucien dont nous venons de parler; 500 m. à l'ouest St. Quentin, le céphalophore picard et 700 m. plus au nord-ouest St. Just, le céphalophore de Saint-Just-en-Chaussée, un bourg à 30 km. au nord de Beauvais ; .— (Henri Fromage, Légende et paysage, dans le Colloque franco-espagnol : La Légende, anthropologie, histoire, littérature, Madrid : Casa de Velázquez, 1989, page 150)
Nouveau dictionnaire d'Histoire naturelle: appliquée aux Arts, à l'Agriculture, à l’Économie rurale et domestique, à la Médecine, etc., Paris : Deterville, 1841, vol.5, p.493