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c’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens \s‿ɛ.t‿a la fɛ̃ dy bal k‿ɔ̃ pɛ lɛ my.zi.sjɛ̃\
Ainsi, dans le bon grain et l’ivraie et dans le filet, Jésus nous explique-t-il le fonctionnement du Jugement dernier : c’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens – et il semble que tout le monde n’aura pas joué... juste.— (Samir Bouadi & Sébastien Dourver, Bien choisir sa religion avant la fin du monde, éditions Pygmalion, 2016)
Avec tous les témoins qu’il prend pour cible, sous ses faux airs indulgents ou amusés, Garçon utilise le même procédé. Il ne démontre rien, il déstabilise. Il envoie des ondes floues dans l’esprit du public, des ondes de doute, on verra ce que ça donnera, c’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens.— (Philippe Jaenada, La Serpe, éditions Julliard, 2017)
Si les hommes politiques en raffolent, les footballeurs en usent – et abusent – autant qu’eux. Leurs interventions en conférence de presse ou lors des interviews sont émaillées de sentences débitées mécaniquement : « Prendre les matches les uns après les autres », « rester bien en place » ou attendre le terme de la saison pour fixer les objectifs car « c’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens ».— (Gilles Verdez, en collaboration avec Guillaume Evin, Les VIPères du foot, Éditions du Moment, 2015, en introduction)