c’est class \s‿ɛ klas\
Ça finit par m’emmerder. Y a toujours des tuil’ à la clef. Et moi, les tuil’, tu sais, c’est class. J’en veux pus.— (La Vidalie, La route aux lèvres, Éditions Selco, Paris, 1953)
— Ton nom, ton nom, grommela Bobo. Est-ce qu’il le connaissait, ton nom ? Même pour moi, ton blaze c’est « La Savate » ou « Le Diplomate » et puis c’est class !— (Jérôme Belleau, Le Diplomate fait échec au roi, Fleuve noir, Paris, 1962)
Et qu’est-ce que vous voulez que ça me foute, vos histoires de famille, mon cher monsieur Dorville ? Le F.L.N., l’O.A.S. et le C.G.N., c’est class.— (Léo Malet, Nestor Burma revient au bercail, Fleuve Noir, Paris, 1967)
Buter un homme au flingue ne passe pas les possibilités du dernier des cons, il s’avoue. Ça se résume en une pression sur la détente, la recul de l’arme dans le poignet, et c’est class !— (Albert Simonin, Hotu soit qui mal y pense, Carré noir, Gallimard, Paris, 1971, page 243)
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