c’est dire \sɛ diʁ\
Je me sens encore un peu dans les vapes, mais par ailleurs, je suis en forme et de bonne humeur et je prends même du poids, c’est dire !— (Dashiell Hammett, traduit par Natalie Beunat, La mort c’est pour les poires : correspondance 1921-1960, page 502, 2002, Éditions Allia)
La contestation s’est développée, elle est sortie de Paris, a envahi le pays. C’est le bordel intégral. Des étudiants viennent livrer des pavés à l’entrée de l’usine, c’est dire…— (Richard Gangloff, Jours heureux à Flins, 2013, Albin Michel)
Rencontrer un homme, pour une femme, reste la priorité number one. Beaucoup d’entre nous seraient même prêtes à sacrifier une journée « TOUT DOIT DISPARAÎTRE » aux Galeries Lafayette pour le croiser. C’est dire !— (Sophie de Villenoisy, Trouver l’homme de sa vie, c’est malin, page 9, 2014, Éditions Quotidien Malin)
Je me souviens que sur un marché aux bestiaux, on m’avait menacé de me pendre sous la charpente en bois si je ne quittais pas le site. Je suis parti et j’ai téléphoné au directeur des Services Vétérinaires du département en question pour lui rendre compte des horreurs que j’avais vues. Il me répondit alors : « Je ne peux pas intervenir car il me faudrait un escadron de gendarmerie, c’est trop dangereux ! ». C’est vous dire les problèmes qu’il y avait sur ce marché et la crainte des autorités compétentes à cette époque.— (Jean-Luc Daub, Ces bêtes qu’on abat, L’Harmattan, 2009, ISBN 978-2-296-08424-7)
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