capitalisation boursière

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Étymologie

(1908?) Terme composé de capitalisation et de boursier.
  • Attesté supposément en 1908 dans "L'Information financière, économique et politique" (gallica)
  • Attesté en 1912 dans "Le Messager du rentier: journal indépendant exclusivement financier"

Locution nominale

Singulier Pluriel
capitalisation boursière capitalisations boursières
\ka.pi.ta.li.za.sjɔ̃ buʁ.sjɛʁ\

capitalisation boursière \ka.pi.ta.li.za.sjɔ̃ buʁ.sjɛʁ\ féminin

  1. (Finance) Produit du nombre d'actions par le cours de l'action, représentant la valeur virtuelle d'achat d'une société.
    • Et cependant la capitalisation boursière de l’Astra ne dépasse guère 90 millions de francs. — (Le Messager du rentier: journal indépendant exclusivement financier, page 19, Imprimerie du "Messager du rentier, 31 décembre 1912)
    • Alors qu’historiquement le rapport entre la capitalisation boursière totale et le PIB des États-Unis est inférieur à 1, à la fin mars 2000, les 88 premières sociétés du S&P 500 avaient à elles seules une capitalisation égale au PIB. — (Économie appliquée, Les déterminants récurrents de la formation des bulles financières, Les bulles financières sont-elles indétectables? Ne peut-on les arrêter? Jacques Ninet, 2004)
    • En second lieu, il est fréquemment avancé, pour minimiser la portée du phénomène bulle/krach, que l’essentiel de la richesse patrimoniale détruite n’était que virtuel (cf les commentaires de J.-M. Messier à propos des 12 milliards de write-off de Vivendi Universal et plus généralement l’idée que les six mille milliards de dollars de capitalisation boursière américaine détruite n’existaient que sur le papier). — (Les déterminants récurrents de la formation des bulles financières, Les bulles financières sont-elles indétectables? Ne peut-on les arrêter? Jacques Ninet, Économie appliquée, Perséé, 2004)

Traductions