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(XIVe siècle) Du latin capitulum (« chapitre, capitule »), soit le sens propre est « négocier chacun des chapitres d'une convention », puis, par spécialisation de sens, « négocier les chapitres d'une reddition » et enfin est devenu le synonyme de « se rendre, abandonner la partie ».
Les défenseurs, après avoir perdu les faubourgs, manquant d’eau, furent obligés de capituler. Le siège entrepris par l’armée des croisés ne dura que du 1er au 15 août, jour de la reddition de la place.— (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
— Cher monsieur, reprit le commandeur Aspertini, quand une armée italienne capitule, nous estimons justement que cette capitulation est glorieuse. Un gouvernement qui présente la défaite dans des conditions esthétiques rallie à l’intérieur l’opinion des patriotes et se rend intéressant aux yeux de l’étranger.— (Anatole France, Le Mannequin d’osier, Calmann Lévy, 1897)
Il est possible que, dans bien des cas, cet audacieux déploiement d’étendards, par une ville qui avait déjà capitulé, ne fût que le résultat du sans-gêne national.— (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 233 de l’édition de 1921)
Mais il comprit que oui, ils l'imaginaient et qu'il fallait frapper un grand coup s'il voulait les mettre à genoux, les obliger à capituler et terminer ainsi des combats aussi sanglants qu’inutiles et démoralisants pour ses hommes.— (Françoise Genoud, Les Galiciens, Éditions Flammarion, 1978, chapitre 5)
On ne put les forcer dans le poste où ils s’étaient retranchés et ils obtinrent de capituler honorablement.
Capituler avec sa conscience, prendre une résolution peu délicate, en s’efforçant de se persuader qu’on est dans un cas d’exception ou que des circonstances impérieuses ne permettent pas d’agir autrement.