Singulier | Pluriel |
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charcutage | charcutages |
\ʃaʁ.ky.taʒ\ |
charcutage \ʃaʁ.ky.taʒ\ masculin
immigrants reçus citoyens canadiens à vitesse Grand V pour accroitre le vote anti souverainiste et le vote d’anglos qui ont admis avoir voté plusieurs fois, le Scandale des commandites ou l’usage des fonds publics canadiens pour contrecarrer le projet de souveraineté du Parti Québécois, l’assimilation, pour ne pas dire l’ethno génocide de la nation québécoise à la majorité anglo-canadienne, l’affaiblissement et le charcutage de la langue française au Québec par la Cour Suprême d’Ottawa, etc.— (Le droit international prime la loi sur la clarté, selon les souverainistes, Le Devoir.com, 24 juil 2010)
Cette écriture se caractérise principalement par son charcutage de la langue française, la rendant illisible, lourde, pénible, fastidieuse, tournant, dans une ostentation un peu ridicule, le dos, au nom d’une prétendue égalité hommes-femmes, à plus de mille ans de construction linguistique.— (Anne-Sophie Chazaud, Écriture inclusive, interdiction de la patrouille de France: la dérive gauchiste de l’«écologie» lyonnaise, Le Figaro, 13 juillet 2020)
En se remémorant le charcutage de la Charte de la langue française (loi 101) par les tribunaux, on ne peut qu’appréhender les mêmes calamités pour la loi 21.— (Réjean Parent, « Loi 21: plus que spectateurs?, dans Le journal de Montréal, 4 novembre 2020)