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Étymologie
- (Nom commun 1) De l’occitan cluèsc (« noyau, tête, testicule ») en gascon du Béarn, lui-même issu du latin cochlea (« escargot, spirale »).[1]
- (Nom commun 2) De l’occitan cluèsca (« coquille, gros caillou, crâne »).[2]
Nom commun 1
clesque \klɛsk\ masculin
- (Occitanie) Vieil objet inutile ; personne sans intérêt.
C’est très basique, mais pleinement fonctionnel, avec 80 % récup et fait main (moteur appareil radiographie, rouleaux tournés maison, règle maçon...) et l’ordi : un vieux clesque ! L’électronique : un panaché dans un coffret de croix de pharmacie qui contient de très bonnes alims !
— (modelisme.com, janvier 2017 → lire en ligne)
Traductions
Nom commun 2
clesque \klɛsk\ féminin
- (Occitanie) Tête de quelque chose ou de quelqu'un.
Maintenir la graine semée à l'abri des rats, souris, mulots, écureuils et lapins, et aussi des oiseaux, qui la mangent et broutent la jeune plantule dans le premier mois de la germination ou l'arrachent en attrapant la « clesque. »
— (Roger Sargos, Les Landes de Gascogne et la culture du pin maritime, 1954)
Traductions
Anagrammes
→ Modifier la liste d’anagrammes
Références
- ↑ Frederic Mistral, Lou Tresor dóu Felibrige, 1878, page 10572, https://www.lexilogos.com/provencal/felibrige.php?q=clos
- ↑ Bernard Moreux & Robert Razou, Les mots de Toulouse : lexique du français toulousain, 2000 : « CLESQUE (n. f.) « caillou » (« crâne »). Séguy ne donne que la variante closque (en particulier closque de mort). Cette variante était courante chez les plus de 40 ans dans l'enquête d'Espallac et Bernis (1979) »