Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | co-indicant \ko.ɛ̃.di.kɑ̃\
|
co-indicants \ko.ɛ̃.di.kɑ̃\ |
Féminin | co-indicante \ko.ɛ̃.di.kɑ̃t\ |
co-indicantes \ko.ɛ̃.di.kɑ̃t\ |
co-indicant \ko.ɛ̃.di.kɑ̃\
Singulier | Pluriel |
---|---|
co-indicant | co-indicants |
\ko.ɛ̃.di.kɑ̃\ |
co-indicant \ko.ɛ̃.di.kɑ̃\
« Disons donc que dans certains cas, où l’on a vu échouer contre une maladie les méthodes curatives, fondées sur les indications découvertes par les moyens précédents (1), il est permis de se laisser conduire tout-à-fait par les penchants et les appétits du malade ; et que presque toujours lorsqu’on est indécis entre plusieurs méthodes, ils méritent à titre de co-indicants, de déterminer notre choix. » Jacques Lordat, Cons de M., œuvr. posthume de P.-J. Barthez, publié par J.-L. Préface, § 4. Paris, Michaud frères, 1810. § 27-30 Comp. Paul Jolly, hygiène morale. Paris, 1877, ch. III p. 68 91.— (Charles Ravel, « Variétés : L’instinct dans les maladies (Instinctus in morbis) doit être interrogé par le médecin », in L’Art médical, trente-troisième année, tome LXIV, Paris, février 1887)
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