Invariable |
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comme cul et chemise \Prononciation ?\ |
comme cul et chemise \kɔm ky e ʃə.miz\ invariable
Naturellement, avec Langlois, en tout bien tout honneur, ils s’entendaient comme cul et chemise.— (Jean Giono, Un roi sans divertissement, 1947)
Quant à Béringuié, c’est un violent et il n’a jamais su maîtriser sa bile. Il est comme cul et chemise avec les pires châtelains du département.— (Pierre Gamarra, Le Maître d’école, Temps Actuels, 1955, page 111)
Ils sont, à l’Express, comme cul et chemise, mais la chemise ne vaut pas mieux que le cul.— (Roger Peyrefitte, Propos secrets recueillis par Claude Chevreuil, A. Michel, tome 2, 1980, page 114)
Nous sommes comme cul et chemise, acquiesça Zaroutsky en tirant sur sa bouffarde. La chemise, c’est moi.— (Vladimir Volkoff, Le Grand Tsar blanc, Éditions de Fallois, 1995, page 139)
Lui et moi,— (Robert Poudérou, La Trappe, L’Harmattan, 2009, page 58)
on est comme cul et chemise ;
pour bien dire : quand mon cul fait du vent,
c’est sa chemise qui garde les odeurs.
Mais j’admirais ton papa qui avait un bateau— (Boby Lapointe, La Fille du pêcheur)
Tu admirais mon papa qui avait une auto
Et bientôt
Nous étions copains, copains comme chemise et cul
Et quand je suis parti, toi aussi tu as eu
Du chagrin