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Mais il n’importe pas seulement de connaître les finesses du métier, il faut surtout être perspicace pour ce qui est répréhensible, nous voulons parler des moyens frauduleux auxquels se livrent peu ou prou tous ceux faisant commerce de chevaux.— (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
Autrefois, nos écorces se vendaient à vil prix, et nos cuirs n’avaient pas une grande valeur ; mais nos écorces et nos cuirs, une fois bonifiés, la rivière nous permit de construire des moulins à tan, il nous vint des tanneurs dont le commerce s’accrut rapidement.— (Honoré de Balzac, Le Médecin de campagne, 1833, édition de 1845, chapitre premier)
Le temps approche où le grand commerce va, plus que les guerres de chevalerie, tenter les jeunes Anglais aventureux.— (André Maurois, Histoire de l'Angleterre, Fayard & Cie, 1937, page 236)
Il y eut certes des juifs qui s’adonnèrent au commerce, et qui poursuivirent des négoces importants. Mais pendant de longs siècles le commerce n’est pas l’occupation principale des juifs. Le commerce de l’argent, si décrié par le Talmud, encore moins que les autres.— (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
Sale et productif comme le commerce, ce passage, toujours plein d’allants et de venants, de charrettes, de haquets, est d’un aspect repoussant, et la population qui y grouille est en harmonie avec les choses et les lieux.— (Honoré de Balzac, Le Cousin Pons, 1847)
Je n’avais depuis l’origine que dégoût pour le commerce et tout ce qui s’y apparente, l’idée de « hautes études commerciales » était à mes yeux une profanation de la notion même d’études.— (Michel Houellebecq, Sérotonine, Flammarion, 2019, pages 30-31)
On comprenait alors pourquoi les commerces de chapeaux et de chaussures existent en aussi grand nombre dans cette artère grouillante et relativement courte.— (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
Adieu, lâche créature, continuai-je en me levant; j'aime mieux mourir mille fois que d'avoir désormais le moindre commerce avec toi.— (Abbé Prévost, Histoire du chevalier de Grieux et de Manon Lescaut, 1731, rééditions Grenier-Flammarion, 1967, page 140)
Ce doit être, interrompis-je, un homme d’un commerce charmant ; la douceur de sa voix, quand il a répondu à l’interrogatoire du commissaire de police, m’a frappé.— (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
Le commerce de monsieur Torquet est une des plus cruelles disgrâces de ma vie.— (Anatole France, Le Mannequin d’osier, Calmann Lévy, 1897, réédition Bibliothèque de la Pléiade, 1987, page 900)
et il était sorti de cette chambre, abasourdi par cette personne qui appelait l’abbé « père » et parlait, très simplement, ainsi que d’une chose naturelle, de son commerce avec Jésus et avec les Saints ; elle paraissait vivre en parfaite amitié avec eux, .— (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
J’aime vivre dans le commerce des poètes. Quelquefois je déclame pour maman des vers de Musset : L’homme est un apprenti, la douleur est son maître…— (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 98)
Homme intelligent et sympathique, d'un commerce agréable, musulman convaincu mais tolérant, c'est un des rares Marocains qui ont tiré un profit réel de leur séjour en Europe.— (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 96)
Je suis éphébophile et non pédéraste, Madame, précisait l'Ambassadeur à la reine Isabelle avec qui il était sur le pied de la confidence, de ce ton leste que seul vous octroie le commerce d'une longue amitié.— (Pierre Combescot, La sainte famille, Grasset, 1996)