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La composition par confixe classique est un mode de création hybride permettant de créer un néologisme en greffant un quelconque formant gréco-latin sur un mot français. Contrairement à la confixation, il n'est plus nécessaire d'adapter l'origine linguistique du formant à celle du terme auquel il sera soudé. Sauf exception, la voyelle de liaison utilisée est un -o-.— (« Examen des moyens lexicaux utilisés en néologie agroalimentaire », chap. A-2, dans La langue dans les assiettes: Quelques recettes pour créer des mots nouveaux dans l'alimentation, ouvrage collectif, Centre de Terminologie de Bruxelles / Fédération Wallonie-Bruxelles, mars 2006)
Est-ce que la même situation va se vérifier également pour les autres confixes ? Il est difficile de l'affirmer avec certitude. Pour le confixeradio par exemple, nous avons isolé 351 confixés (Gradit) sur 21 transpositions (Coris), mais le corpus Coris nous donne seulement 300/6500 occurrences, .— (Jan Radimsky, « Un confixe autonome est-il un substantif épithète ? Remarques à propos de la directionnalité dans la morphologie lexicale », dans Synchronie dynamique du système linguistique, sous la direction de Jan Radimsky, Échos des Études romanes, vol. 3/n° 1-2, 2007, p. 117)