Singulier | Pluriel |
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conte moral | contes moraux |
\kɔ̃t mɔ.ʁal\ | \kɔ̃t mɔ.ʁo\ |
conte moral \kɔ̃t mɔ.ʁal\ masculin
La pensée maîtresse de ce conte moral n’en est que plus remarquable, car il préconise des sentiments de charité et de simplicité de cœur— (Antony Landes, Contes et légendes annamites, 1886, CXV: « Père à vendre », note 1)
Puis, la vocation littéraire s’allumant tout à coup en lui, comme une torche, il écrit « Guillaume le Tisserand », conte moral qui fit pleurer des familles, assure-t-on.— (Léon Bloy, Le Désespéré, A. Soirat, 1886, LXVI « L’hermaphrodite Prussien Albert Wolff »)
Car, si moi-même suis homme très vicieux, je puis cependant vous dire un conte moral que j’ai accoutumé de prêcher, pour le gain.— (Geoffrey Chaucer, 1478, Les Contes de Canterbury - Traduction française, éditeur Félix Alcan, 1908, « Le pardonneur », Trad. Charles Clermont, lignes 459–461)
Ce livre, , est un conte moral dans lequel l’auteur suppose que la Nature lui apparaît en songe, pour se plaindre de la dépravation qui règne parmi les hommes— (Pierre de Ram, Biographie nationale de Belgique, « Alain de Lille », 10°, Liber de plancia naturæ, contra Sodomiæ vitium)
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