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corps à corps \kɔ.ʁ‿a kɔʁ\ |
corps à corps \kɔ.ʁ‿a kɔʁ\
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corps à corps \kɔ.ʁ‿a kɔʁ\ |
corps à corps \kɔ.ʁ‿a kɔʁ\
Certes, une attaque corps à corps avec ces carnassiers était extrêmement périlleuse ; .— (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873, page 181)
Leur guerre à eux n'est pas celle qui nous plaît tant des combinaisons sur l'échiquier stratégique, mais pièges, embuscades, luttes corps à corps, actions individuelles. Ce n'est pas le meurtre en masse, mais la tuerie en détail, .— (Élie Reclus, « Études ethnographiques : Les Niassis de l'archipel Malai », chap. 9, dans la Revue internationale des sciences biologiques, tome 8, Paris : chez Octave Doin, 1881, p. 478)
Mais dans les régions que des reliefs du sol rendaient mal praticables, , le hallebardier, l’homme d’épée pour le combat corps à corps, l’archer même purent affirmer leur supériorité ; .— (H. G. Wells, Anticipations, 1901, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Société du Mercure de France, Paris, 1904)
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corps à corps \kɔ.ʁ‿a kɔʁ\ |
corps à corps \kɔ.ʁ‿a kɔʁ\ masculin
Surpris, les Français tournèrent bride, mais reprenant l'offensive ils engagèrent avec les cosaques, qu'ils mirent en fuite, un sanglant corps à corps jusque dans les rues du hameau de Jacqueville, puis tranquillement reprirent la route de Fontainebleau.— (L'invasion à Montereau et aux environs en février 1814, dans Annales de la Société Historique et Archéologique du Gâtinais, Fontainebleau : Maurice Bourges, 1916-1917, volume 33, page 89)
All Blacks et autres springbocks ne tiendraient pas une mi-temps dans la mêlée farouche d’une gare parisienne un jour de fin juillet-début août. Alors qu’enfants et femmes et chats et chiens et canaris français parviennent à grimper dans leur train après des corps à corps qui ne sont pas sans rappeler au monde les fortes heures de Verdun.— (René Fallet, Paris au mois d’août, Denoël, 1964, Le Livre de Poche, page 29)
Mais les vieux grognards de son régiment lui avaient décrit ces barbares par le menu, leurs cris au moment de charger, leurs costumes bigarrés, leurs yeux rougis de haine pendant le corps à corps.— (Philippe Morvan, Les Fils du Ciel, Calmann-Lévy, 2021)