Singulier | Pluriel |
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coït | coïts |
\kɔ.it\ |
coït \kɔ.it\ masculin
Les nouvelles mariées disent que le coït peut faire crier de douleur. On comprend que nombre de femmes n’aiment pas particulièrement le coït, car si le mari ne s’occupe guère de faire jouir sa compagne, c’est la douleur qui demeure la plus vive.— (Marcelle Gauvreau, Lettre à Marie-Victorin, 21 septembre 1941, dans Lettres au frère Marie-Victorin, éditions Boréal, Montréal, 2019, page 220)
Jean Borie, en accord avec Sartre aussi bien qu’avec Foucault, souligne qu’un retournement s’était, à ce propos, opéré depuis le XVIIIe siècle; le désir et la jouissance, que l’on cesse d'exalter en les associant à la génération, se trouvent relégués au nouveau statut d’instinct génésique; dès lors, le coït conjugal se trouve plus étroitement associé à la notion de devoir.— (Alain Corbin, Les filles de noce, 1978)
Le coït homosexuel se fait debout ou assis (notamment en missionnaire) — ce qui était généralement le cas aussi en Grèce.— (Bernard Sergent, L’Homosexualité dans la mythologie grecque, Payot, 1984, page 56, ISBN 2228133809)
Relation sexuelle :
Accouplement :
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