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Vers le 20 mars, les chasseurs signalèrent les premiers cygnes, qui émigraient des territoires méridionaux et s’envolaient vers le nord en poussant d’aigres sifflements.— (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
D’après des renseignements fournis par M. Zschokké, ces Cygnes ont le corps pie-noir, à l’exception du cou qui est resté tout noir.— (Charles Cornevin, Traité de zootechnie spéciale : les oiseaux de bassecour, 1895, page 12)
Ne voulaient-ils pas, dans leur délire, pêcher les poissons rouges, camper dans la cabane du cygne, manger ses œufs à la coque et faire rôtir le cygne noir, celui qui avait un bec orange avec une grosse bosse dessus ? On confisqua leurs engins de pêche juste à temps pour prévenir la dévastation.— (Alexandre Vialatte, Fred et Bérénice, Le Rocher, 2007, page 109)
Les grands floes épais mis en liberté sont usés par la friction, rongés par les mouvements de la mer et par le dégel, ils constituent fréquemment des masses aux formes bizarres et élégantes d’une glace bleue-verdâtre très dure. Ils deviennent finalement des glaçons, les « cygnes » ou « bourguignons » des pêcheurs d’Islande qui les rencontrent à de grandes distances en mer libre.— (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
Sur les bras nus, sur le cou, un cygne de bronze versait de l’eau claire et fraîche, et des gouttes se jouaient sur la peau blanche, se croisaient comme de petites bêtes à traînée luisante et, curieuses, se perdaient dans les profondeurs confuses.— (Maurice Leblanc, Voici des ailes, 1898, réédition Éditions François Bourin, collection Libretto, 1999, page 32)