défavoritisme \de.fa.vɔ.ʁi.tism\ masculin singulier
Dans cette seconde perspective, il n'y aurait ni favoritisme ni défavoritisme puisqu'on se limite à une présentation magistrale détachée qui aborde la religion, ses dogmes et ses pratiques, comme un fait, qui peut tout à fait être qualifié par rapport à d'autres faits sans y faire participer de jugement moral sur une religion ou ancré dans une religion.— (François Côté et David Santarossa, « Culture et citoyenneté québécoise : un virage amorcé vers la laïcité », dans La loi sur la laïcité de l'État, Presses de l'Université Laval, Québec, 2023, page 144)
Écoutez, quand il n'y a pas de critère défini et que chaque fédération détermine elle-même ses critères, il y a beaucoup de chances qu'il y ait un peu de favoritisme ou de défavoritisme .— (Journal des débats de la Commission permanente de l'éducation, des affaires culturelles et des communications, le mardi 11 mai 1976)
→ voir faveur et favoritisme